Valérie Trierweiler aime être la marraine de plusieurs associations humanitaires. Ces dernières beaucoup moins visiblement. Depuis la sortie du livre de la journaliste de Paris Match sur son intimité avec François Hollande, les ONG ne veulent plus d'elle... Mais elle s'accroche.
C'est une bombe que vient de sortir Le Parisien Magazine. Selon une enquête, les associations humanitaires ne voudraient plus de Valérie Trierweiler dans leurs rangs. Des ONG comme Action contre la Faim ou encore Le Secours Populaire se passeraient bien de la présence de l'ancienne Première dame de France. Oups. Voilà qui fait tâche dans le décor de Valérie Trierweiler qui a soutenu contre vents et marées qu'elle ne lâcherait pas son action humanitaire après sa rupture avec François Hollande.
Le 25 janvier dernier, le président de la république et sa compagne se séparent. Une rupture qui a fait grand bruit de par le GayetGate. Valérie Trierweiler ne veut pas qu'on l'oublie. Elle s'envole, le lendemain, pour l'Inde, où elle est attendue pour un voyage humanitaire avec Action contre la Faim. Oui mais voilà, la journaliste est logée aux frais de la princesse, enfin plutôt aux frais des donateurs ce qui ne plait pas du tout aux membres de cette association. Une donatrice s'exprime :
Mauvaise idée, cette égérie un peu trop médiatique ! Et son hébergement dans un palace ! Avec ce fric, combien d’enfants pourrait-on nourrir ? Cela me choque !
Le Secours Populaire avec qui elle se targuait d'avoir de très bonnes relations, voire même des contacts amicaux, lui tourne le dos. Les membres la décrivent comme
Une marraine parmi d’autres.
Et ajoutent au sujet de son voyage à Madagascar, en octobre 2014, où elle était présentée comme une ambassadrice de l'association :
Les légendes des photos de Match étaient trompeuses, précise la direction de la communication de l’association. Mme Trierweiler était sur place pour une raison qui n’avait rien à voir avec nous et, ayant appris que nous allions inaugurer une station d’eau potable dans un village proche de Tananarive, elle a contacté nos équipes pour annoncer sa venue.
Antoine Vaccaro, président de Faircom, une agence qui aide les ONG à lever des fonds, décrit l’ambassadeur idéal, susceptible d’attirer les donateurs dans les colonnes du Parisien :
Une personnalité qui a la sympathie du public et qui mène sa carrière sans tapage et sans faire d’erreurs.
C'est sûr qu'avec la sortie de Merci pour ce Moment, Valérie Trierweiler embarrasse. Avec plus de 500.000 ventes, elle a fait un carton de ce brûlot mais elle a grillé ses amitiés...