C'est ce mardi 2 mai que se tenait le procès de l'affaire des seins nus de Kate Middleton. Pour rappel, en 2012, le magazine Closer affichait en Une la duchesse de Cambridge... topless ! Des clichés qui avaient été pris à son insu alors qu'elle se trouvait en vacances dans une propriété privée dans le Sud de la France. Autant dire que la famille royale ne cachait pas sa colère en découvrant cette couverture plutôt polémique.
1,5 million d'euros de dommages et intérêts
Laurence Pieau, directrice de la rédaction de Closer, Ernesto Mauri, à l'époque président du groupe Mondadori qui est propriétaire du titre, ainsi que deux photographes, qui sont soupçonnés d'avoir pris les photos, étaient donc mardi sur le banc des accusés. Grands absents de ce procès, Kate Middleton et le prince Williams ont toutefois fait savoir, par le biais de leurs avocats, qu'ils étaient "choqués" par ces clichés. Une affaire d'autant plus douloureuse "car ils nous rappellent le harcèlement à l'origine du décès de ma mère, Diana".
Ainsi, le procureur requiert "des amendes significatives". L'un des avocats du magazine Closer a révélé que Kate Middleton et le prince William réclamaient 1,5 million d'euros de dommages et intérêts au magazine. Ce dernier dénonce "un raisonnement anglo-saxon de dommages et intérêts punitifs". Le couple exige également 50 000 euros contre le quotidien La Provence qui avait publié une photos de la duchesse de Cambridge en maillot de bain.
Le verdict du tribunal est attendu pour le 4 juillet prochain.