Invité sur le plateau de C'est que de la télé ! sur C8 ce lundi 27 novembre, Igor Bogdanoff a bien évidemment été interrogé sur ses récents déboires avec la justice. Pour rappel, l'animateur télé et radio s'est introduit de force au domicile de son ex-compagne, Julie Jardon, qui a déposé une plainte contre lui.
Mais plutôt que de répondre directement à la question, le frère jumeau de Grichka est parti dans des explications surréalistes.
Igor Bogdanoff vit mal la séparation
Igor Bogdanoff a ainsi comparé sa déception amoureuse à une rupture évoquée par... Voltaire, dans l'un de ses ouvrages.
Je me souviens, j'étais en terminale et j'avais lu l'aventure qui était arrivée à Voltaire. Voltaire a eu une séparation difficile à Paris, et voilà qu'il va se réfugier à Ferney et il écrit quelque chose qui m'a frappé et dont j'ai toujours le souvenir. Il dit : “De toutes les passions, l'amour est la plus forte. Elle attaque la tête, le cœur et le corps.” C’est la raison pour laquelle une séparation est toujours quelque chose d’extraordinairement pénible et douloureux. Dans la hiérarchie des douleurs, ça vient juste après la perte d’un être proche.
Raconte-t-il, visiblement très affecté par cette toute nouvelle séparation.
Il a ensuite évoqué une récente étude scientifique pour préciser combien le corps gardait une trace des peines de cœur.
Dernièrement, il y a eu un papier qui a circulé là-dessus. Quand on dit sur une peine de cœur : “J'ai le cœur déchiré”, ça veut dire que c'est pas seulement quelque chose que l'on vit mentalement, c'est pas seulement quelque chose que l'on vit avec son cœur, c'est quelque chose que l'on vit physiquement. Et l'électrocardiogramme révèle qu'une peine de cœur, c'est physique. On a véritablement des traces qui restent, c’est incroyable !
Ce qui est incroyable, c'est que son casier judiciaire en gardera peut-être lui aussi quelques traces.