Benjamin Castaldi vient de porter plainte contre un notaire, un agent immobilier et une banque pour escroquerie. Il demande six millions d'euros devant le TGI de Paris et de Versailles. Explications.
C’est une bien mauvaise histoire qui est arrivée à l’animateur Benjamin Castaldi. Il y a une dizaine d’années, il achète une maison via un programme immobilier. La villa de ses rêves. Pour cet investissement conséquent, il fait confiance à un promoteur et un notaire. Tout va bien pendant quelques temps jusqu’au moment où Benjamin Castaldi reçoit des huissiers à son domicile.
Ils lui réclament de l’argent, saisissent ses biens. Le présentateur, ex de Flavie Flament, semble être victime d’une escroquerie à la Bernard Madoff. Son salaire était directement ponctionné et il ne lui restait plus que 1.200 euros pour vivre par mois. Aujourd’hui, il porte plainte et se porte partie civile devant le TGI de Versailles et de Paris.
Il a expliqué au Dauphiné Libéré :
Il faudra que quelqu'un paye. J'ai été naïf, je ne me suis pas assez occupé de ça. Mais la façade était parfaite et j'ai simplement fait confiance à des gens dont le conseil est le métier.
Il attaque ainsi le promoteur immobilier, le notaire ainsi que la banque. Il reproche à cette dernière de lui avoir prêté 1.2 million d’euros sans même l’avoir rencontré. Ainsi, son argent a été détourné et n’a pas servi à payer les traites de la maison. L’année dernière, Benjamin Castaldi s’est retrouvé ruiné.
Le Parisien expliquait cette tragique descente aux enfers, en août, dans ses colonnes.
A la rentrée 2012-2013, les projets se raréfient, Benji disparaît de l'antenne à l'exception de Secret Story. Dans la foulée, il découvre qu'il est ruiné, escroqué par un notaire. Une arnaque immobilière qui lui revient comme un boomerang dix ans après, alors qu'il émigre quelques mois aux Etats-Unis pour y vendre des concepts de jeux télé.
Benjamin Castaldi a avoué avoir été naïf mais il affirme s’être fait berné ! Il veut récupérer 6 millions d’euros auprès de la justice. Aura-t-il gain de cause ? Rien n’est moins sûr.