Amélie Mauresmo est une femme transformée depuis qu’elle est devenue maman. Son petit Aaron, née le 16 août 2015, fut un moment de pur bonheur dans sa vie de maman. Certains de ses proches ont d’ailleurs choisi d’en parler lors d’une interview pour le magazine France Dimanche, souhaitant raconter à quel point ce petit garçon avait bouleversé sa vie de femme.
Il faut dire que jusqu’à la naissance de son petit bout, Amélie Mauresmo était surtout intéressée par une chose : le tennis. Immense championne, puis entraîneuse pour Andy Murray et maintenant coach pour l’équipe de France féminine lors de cette finale de la Fed Cup, la jeune femme n’a vraiment rien à prouver dans le domaine sportif. Sa reconversion est parfaite, son talent est immense… bref, elle est toujours au top !
Côté vie personnelle, Amélie Mauresmo a rapidement fait son coming out puisqu’elle n’avait que 19 ans quand elle a expliqué être gay. Depuis, elle a fait beaucoup de chemin, comme son ex entraîneuse Alexia Dechaume l’a expliqué à France Dimanche :
Pendant sa carrière, elle s'était déjà épanouie en tant que femme entre le début et la fin. Aujourd'hui, elle est indépendante, bien dans sa peau. Ajoutez à cela un enfant et cela fait d'elle une femme heureuse. Ses journées sont cool, même si elles ont un peu changé avec l'arrivée du petit. Elle va au restau sans retenue. Plus rien ne l'a bloque ou l'inhibe comme ça a pu être le cas à l'époque où elle était exposée
Et cet enfant a changé tellement de choses qu’Amélie Mauresmo a pris de grandes décisions, comme celle de ne plus entraîner Andy Murray pour pouvoir davantage s’occuper de son fils Aaron. Sereine et investie auprès de son enfant, Amélie Mauresmo semble épanouie. C’est en tout cas ce que son amie, Nathalie Dechy, membre de l’organisation du tournoi de Roland Garros, a expliqué :
Son premier et mon petit dernier, Pablo, ayant quasiment le même âge, on pouponne ensemble comme des copines normales.
En revanche, la star ne joue presque plus jamais au tennis. Elle a d’autres passions qui lui prennent du temps comme l’a confié Loïc Courteau, l’un de ses anciens entraîneurs :
Il y a sa passion du vin. Amé, elle aime le jeu, les potes, la vie, la bouffe. Elle aime vivre quoi.
Tout va bien donc pour Amélie Mauresmo, même si le week-end s’achève sur un goût amer avec la défaite de son équipe qui s’est inclinée en finale. Les sportives sont apparues tristes et fermées lors de la remise de prix. Amélie Mauresmo quant à elle a esquissé un petit sourire, qui voulait certainement dire que c’est dommage mais que c’est comme ça, et qu’elles feront mieux la prochaine fois… car comme le disent ses amis, Aaron lui a permis de gagner en sérénité et en calme…