Voyage aux Maldives, sac à main de luxe... Thomas Vergara a mis les petits plats dans les grands pour fêter comme il se doit le 28ème anniversaire de sa chère et tendre Nabilla. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas hésité à casser sa tirelire afin de lui offrir une pièce signée Hermès, aussi rare que chère.

Il faut dire que les deux époux ne se refusent rien. La preuve ? Ils viennent de s'acheter une magnifique villa à Dubaï. Une vie de luxe qui interroge. Comment les deux candidats de télé-réalité ont-ils fait pour s'offrir un tel train de vie ? Une question sur laquelle s'est penchée le magazine Public, en vente dans les kiosques depuis ce vendredi 14 février 2020.

Leur petite entreprise ne connaît pas la crise

Ainsi, sans surprise, l'hebdomadaire rapporte que la principale source de revenus de Nabilla n'est autre que les placements de produits sur Instagram. Elle empocherait chaque mois, en moyenne, 100 000 euros. Un business juteux auquel la jeune femme est associée à son mari, comme elle l'expliquait récemment sur les réseaux sociaux :

Vous savez combien il gagne mon mari ? Vous voulez que je vous dise son salaire en fait ? Ça vous fait tellement chi** qu'il m'achète ce sac ? Mon mari, il est associé avec moi sur tous mes projets.

En plus d'être influenceuse, la jolie brune est également à la tête de Nabilla Beauty, sa marque de maquillage qui connaît un franc succès. A cela s'ajoute sa collaboration avec Amazon Prime Video. La demoiselle sera bientôt aux commandes de la version française de l'émission Love Paradise. Si on ne connaît pas son salaire pour l'émission, le magazine Public rapporte que la jeune femme avait empoché 100 000 euros pour sa dernière télé-réalité, Les incroyables aventures de Nabilla et Thomas en Australie.

Autre source de revenus : les apparitions en soirées rémunérées. Toujours selon les informations de Public, Nabilla facturait, en 2014, 6500 euros pour chacune de ses apparitions en boîte de nuit. Aujourd'hui, la jeune maman "sort beaucoup moins" mais "facture beaucoup plus".

Autant dire que leur entreprise ne connaît pas la crise.