Les vacances d’été de Giuseppa Ciurleo  et de son mari Paga ont viré au cauchemar. Le 8 août dernier, le candidat emblématique des Marseillais a été arrêté par les forces de l’ordre et accusé de viol par une jeune touriste.

Giuseppa et Paga face aux rumeurs

Rapidement placé en garde à vue, le papa de Giorgia et Adriana a finalement retrouvé la liberté le jour même. Ses avocats ont dénoncé des propos « aussi graves qu’injustes », rappelant qu’aucune poursuite n’avait été engagée contre lui. L’enquête, selon eux, a démontré que les accusations étaient « totalement infondées ». Maître Margaux Mathieu a même précisé au Figaro : « Il a été accusé à tort, sa remise en liberté quasi immédiate le prouve. »

Dans la tempête, Giuseppa n’a jamais lâché son mari. Sur Instagram, la jeune maman donnait de ses nouvelles le 19 août dernier : « J’ai pris du temps pour nous… Je ne suis pas encore prête à m’exprimer davantage, mais je préfère me concentrer sur notre famille. »

Si les jeunes parents cherchent à se protéger, force est de constater qu’ils n’échappent pas aux rumeurs. Quelques temps après la garde à vue de Paga, certains ont affirmé que le Marseillais et son épouse formaient un couple libre. Des rumeurs relancées par une vidéo partagée sur la Toile par Aqababe.

"Je ne me justifierai pas plus"

Le célèbre blogueur, habitué à dévoiler sur la Toile des aperçus de stars, a diffusé des images de Giuseppa lors d'une soirée à Porticcio. Si Paga n’était pas présent, son épouse, elle, a été filmée “en bonne compagnie”.

Des images qui n’ont pas tardé à faire réagir la jeune maman. Giuseppa Ciurleo s’est rapidement exprimée sur ses réseaux sociaux afin de faire une mise au point.

« Je ne vais pas faire comme si je n’avais rien vu, encore. Le plus dur, c’est de se faire remarquer publiquement, même si c’est le jeu de la médiatisation. Je ne comprendrai jamais comment ces gens peuvent filmer tout ça pour animer leur vie, sans penser aux conséquences pour les autres », a-t-elle écrit dans un premier temps.

Et de poursuivre :

Je ne me justifierai pas plus, mais encore une fois, les choses sont interprétées comme on en a envie. Nous sommes au cœur des polémiques et c'est fatigant.

Une mise au point qui fera taire les mauvaises langues ? Rien n’est moins sûr...