À 33 ans, Agathe Auproux est enceinte de son premier enfant, fruit de ses amours avec son mari Maxence Picardet. L’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste est follement amoureuse du jeune homme, rugbyman français.
Mais depuis qu’elle est enceinte, Agathe Auproux est confrontée à plusieurs difficultés face auxquelles elle se confie en toute transparence à sa communauté. Jeudi 31 juillet, Agathe Auproux a une fois de plus pris la parole auprès de ses abonnés Instagram. Dans sa story, elle a fait part d’une nouvelle angoisse qui grandit en elle.
Agathe Auproux connaît la date de son accouchement
« S’il n’y a pas de complications d’ici là, je sais donc exactement quand je vais rencontrer mon fils. C’est imminent » a confié la jeune femme. Cette dernière ne pourra pas accoucher par voie basse et a donc déjà la date de la césarienne qu’elle devra subir.
« J’ai la date de mon accouchement (depuis un petit moment maintenant). La mauvaise position de mon placenta empêche un accouchement par voie basse, le bébé ne peut littéralement pas sortir tout seul : donc césarienne programmée avant le terme. Plus précisément : avant le début du travail spontané, pour nous protéger et éviter une grosse hémorragie »
Si l’idée d’une césarienne doit fort probablement travailler Agathe Auproux, c’est autre chose qu’elle a actuellement en tête et qui ne manque pas de la préoccuper.
Elle ne sait pas où son bébé va habiter
Celle qui a su vaincre le cancer a expliqué sa situation actuelle, qu’elle trouve loin d’être idéale pour accueillir un bébé. En effet, son mari et elle-même n’ont toujours pas de domicile. Cela ne manque pas de faire cogiter Agathe Auproux.
« Je ne sais en revanche toujours pas où mon fils va habiter. Ceux qui me suivent depuis le début de cette grossesse ont normalement suivi les déménagements successifs, et à plus de 8 mois, on est toujours dans ce marasme immobilier, toujours ces retards, toujours ces déceptions, toujours ces angoisses, toujours cette urgence, toujours cet inconfort. Alors que je vous promets qu’on fait tout bien, dans les règles »
En attendant que la situation se débloque, Agathe Auproux vit alors chez la famille de son mari, mais cette situation doit absolument changer.
« Je loge chez la famille de mon mari et pour plein de raisons il faut absolument qu’on ait un chez nous très vite. À 33 ans mdr, à deux doigts d’accoucher, je vis dans des sacs, je ne sais même plus où sont stockées mes affaires, je n’ai aucune visibilité. Ce contexte participe largement à mon état dépressif. Et les insomnies n’aident pas »
On espère que les futurs parents vont prochainement réussir à se sortir de cette déconvenue.