Décidément, Jean Dujardin n’a pas le temps de chômer. Après le tournage du film Sur les chemins noirs, le comédien en fait actuellement la promotion. À titre d’information, ce long-métrage débarque dans les salles obscures le 22 mars prochain. En attendant la sortie, l’interprète de Brice de Nice enchaîne les interviews. Dans les colonnes du magazine Paris Match, le quinquagénaire a ainsi fait quelques révélations sur sa carrière. Il s’est aussi livré comme jamais auparavant sur sa vie privée, notamment sur sa paternité tardive.

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Jean Dujardin @ DR

"C’est comme une seconde chance"

Certes, son histoire d’amour avec Alexandra Lamy déchaînait les passions. Jean Dujardin a cependant déjà connu l’amour avant de fréquenter l’interprète de Chouchou dans Un gars, une fille. Certains ne le savent peut-être pas, mais l’acteur a été marié à Gaëlle Demars dont il s’est séparé en 2003. De leur union sont nés Simon (22 ans) et Jules (21 ans).

Après sa rupture avec sa partenaire de scène, celui qui prête ses traits au personnage de George Valentin dans The Artist a retrouvé l’amour dans les bras de la patineuse Nathalie Péchalat. Ils sont les heureux parents de Jeanne (7 ans) et Alice (2 ans). Jean Dujardin a ainsi connu la paternité à deux époques bien différentes de sa vie. Au micro de nos confrères de Paris Match, il s’est laissé aller à quelques confidences à ce sujet.

À 30 ans, on est sur soi, on a envie d’en découdre, on cherche à se prouver des choses et les enfants en pâtissent forcément (…) Je suis heureux de vivre à nouveau une paternité et de la corriger. C’est comme une seconde chance.

Jean Dujardin se confie sur sa courte carrière à Hollywood

Propulsé au rang de star du cinéma après sa consécration aux Oscars en 2012, Jean Dujardin a fait une incursion couronnée de succès à Hollywood. En ce sens, l’ami de George Clooney aurait pu s’installer aux États-Unis. Le père de famille a cependant préféré rester en France. En effet, il mène une vie paisible à Saint-Cloud, en région Île-de-France. Un quotidien tranquille que le quinquagénaire n’échangerait pour rien au monde.

Quand on me répète que j’aurais pu faire une carrière aux États-Unis, on oublie quelque chose : j’ai une famille, j’ai ma vie ici.