Après ses débuts dans la télé-réalité, Simon Castaldi est devenu influenceur comme d'autres stars dans ce milieu. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le jeune homme de 25 ans gagne bien sa vie. Pourtant, cela n’a pas toujours été le cas. Lors d’un entretien avec Laurent Karila, il a fait des révélations bouleversantes à ce sujet. Son enfance a été marquée par l’absence et la faillite de son père.
À plusieurs reprises, Benjamin Castaldi s’est exprimé sur ses problèmes financiers passés. Mais cette fois-ci, c’est son fils qui a livré un témoignage déchirant…
Simon Castaldi à cœur ouvert sur les soucis financiers de son père
Fils de Valérie Sapienza et Benjamin Castaldi, le frère de Julien a vu le jour le 20 avril 2000. Outre le divorce de ses parents, son adolescence a été marquée par la faillite de son papa. "Mon premier trauma, c'est la banqueroute de mon père", confie-t-il.
Continuant sur sa lancée, l’ex de Cassandra Jullia a raconté ce qui est arrivé à Benjamin Castaldi, et qui a fortement impacté son quotidien. "En 2011, mon père se fait escroquer et perd beaucoup d'argent. Il doit fuir la France, il part faire de la production à Los Angeles et, nous, on ne le voit plus", révèle-t-il.
Et de poursuivre :
Dans les souvenirs que j'ai de mon père avant qu'il parte, il faisait La roue de la fortune sur TF1. Je le voyais le week-end, blanc, livide, creusé. Ça n'allait pas du tout. On n'avait pas de chauffage, pas d'eau chaude, dans une baraque énorme. C'était un peu bizarre, mais on ne se rendait pas compte. On pouvait jouer avec lui à la play, on était content pour ça. Parce que, pendant mon enfance, il y avait toujours ses potes et jamais lui, seul.
"Je ne lui en veux pas"
Submergé par la situation, l’animateur qui a dénoncé le film de Diane Kurys sur ses grands-parents se serait senti perdu. Simon Castaldi l’a vu au bord du gouffre. "J'ai un souvenir où il pleure parce qu'on sait qu'il a tout perdu...", raconte-t-il. Même sans la présence de son père, il ne nourrit aucune rancune : "Je ne lui en veux pas du tout. Ça a été le premier choc et je l'ai plus du tout vu pendant très longtemps".
Jusqu'à ma troisième je ne l'ai presque plus vu (...) C'était dur, mais je n'ai manqué de rien.
Des confidences bouleversantes.