Brigitte Macron ne compte pas se laisser faire. Depuis qu’Emmanuel Macron a été élu président de la République, la Première dame doit faire face à un grand nombre de rumeurs. Ainsi, depuis quelques années, il se murmure qu’elle serait née homme, sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Une rumeur grotesque, mais qui a pris de l’ampleur au fil des mois.
Si Brigitte et Emmanuel Macron ont préféré dans un premier temps ignorer ces rumeurs infondées, ils ont finalement décidé de riposter. Avant d'attaquer en justice l’influenceuse américaine Candace Owens, le couple a déposé une plainte contre X pour cyberharcèlement contre une dizaine d'internautes.
Un procès qui pourrait marquer les esprits
Ainsi, ce procès pour cyberharcèlement aura lieu à la fin du mois d’octobre. Un procès qui pourrait être marqué par un geste fort de Brigitte Macron, selon les indiscrétions du magazine Closer. En effet, la Première dame aurait décidé de faire face à ses cyberharceleurs. Ainsi, elle envisagerait d’assister à cette audience… mais pas seulement.
Toujours d’après l’hebdomadaire, Brigitte Macron n’exclurait pas non plus la possibilité de prendre la parole au cours du procès. L’occasion de faire prendre conscience à ces cyberharceleurs que leurs actes ne sont pas sans conséquence ?

Brigitte Macron déterminée à rétablir la vérité
Brigitte Macron semble bel et bien déterminée à rétablir la vérité. D’ailleurs, si sa plainte contre Candace Owens a pu surprendre, Emmanuel Macron n’a pas tardé à s’expliquer sur le sujet. « Cela a pris une telle ampleur aux États-Unis que nous nous devions de réagir. Il est question de faire respecter la vérité », confiait-il récemment dans les colonnes de Paris Match.
Alors que le bras de fer continue avec l’influenceuse, l’avocat américain de Brigitte et Emmanuel Macron a fait savoir que "des preuves photographiques et scientifiques" seraient dévoilées lors du procès. Des photos personnelles de Brigitte Macron, notamment des photos de la Première dame enceinte, pourraient donc être présentées au cours de l’audience.
Pas question pour l’ancienne prof de français de se laisser faire. Ses détracteurs sont prévenus.