Kendji Girac semble enchaîner les déconvenues. Celui qui a déjà frôlé la mort en se tirant dessus en avril 2024 se montre bien plus attentif depuis, mais cela ne l’empêche pas de faire quelques maladresses.

En tournée promotionnelle pour son autobiographie intitulée Ma vida, Kendji Girac a dû mettre momentanément un terme à ses obligations professionnelles en raison d’une «très grosse grippe». «40 degrés de fièvre, pas dormi de la nuit, courbatures…», avait-il confié à sa communauté. À la suite de l’annulation de ses séances de dédicaces pour la sortie de son livre, le chanteur s’est fait beaucoup plus discret sur les réseaux sociaux.

Kendji Girac hospitalisé et opéré suite à une blessure domestique

Jeudi 18 décembre, le chanteur a de nouveau pris la parole sur la Toile, révélant à ses abonnés la raison de son absence. C’est vêtu d’une blouse bleue et d’un bandage à la main, depuis une chambre d’hôpital, qu’il s’est montré en story Instagram.

«Je me suis blessé en faisant de la mécanique. Je conseille à personne de faire de la mécanique quand on ne sait pas le faire», a-t-il averti ses abonnés. Une blessure qui va néanmoins nécessiter une intervention chirurgicale.

«Je passe par une petite opération. Je me sentirai mieux avec ma main dans quelques jours. Rien de grave», a poursuivi l’interprète d’Andalouse. «Je voulais vous faire part de ce petit moment un peu compliqué. Mais il y a pire dans la vie, ce n’est pas grave. En tout cas, je suis pris en main par des médecins très gentils, qui vont bien s’occuper de moi et qui vont refaire marcher ma petite main comme il faut».

Le chanteur s’est ainsi montré optimiste face à cet accident domestique, qu’il espère rapidement laisser derrière lui.

Kendji Girac se livre à cœur ouvert

Révélé dans The Voice, le chanteur raconte sa vie à ses fans dans Mi Vida, paru le 1er octobre 2025 aux éditions Flammarion. Le père de famille y retrace son parcours, de ses origines gitanes jusqu’à la blessure par balle survenue à Biscarrosse. Dans cette œuvre, où il décide de clarifier certaines «zones d’ombre», Kendji Girac se livre comme jamais, pour le plus grand plaisir de ses admirateurs.