"Nous ne pouvons plus désormais laisser prospérer sans réagir des récits biaisés et tronqués, récits contredits par de nombreux éléments objectifs et par des témoignages qui continuent de parvenir à notre client", ont fait savoir Maître Jacqueline Laffont et Julie Benedetti, avocates de Jean Imbert, via un communiqué transmis à nos confrères de RTL.

Jean Imbert face aux accusations de ses ex

Au mois d’avril dernier, le magazine Elle dévoilait une longue enquête consacrée au célèbre chef, dans laquelle quatre de ses anciennes compagnes l’accusaient de violences psychologiques, voire physiques. Parmi elles, Alexandra Rosenfeld.

À l’époque, la compagne du journaliste Hugo Clément, qui a lui aussi réagi à cette affaire, avait décidé de témoigner sous un faux nom. Mais il y a quelques jours, elle a pris la parole sur ses réseaux sociaux afin de livrer sa vérité. “On m’a appelée Éléonore. C’était un faux nom, mais ce que j’ai dit était vrai. Sa défense autour de ce nez fracturé a été de dire qu’il se défendait. Ce qu’il a répondu est faux. Et les personnes présentes ce jour-là le savent”, confiait-elle notamment.

Ce dimanche 24 août 2025, le magazine Elle rapportait que la comédienne Lila Salet, ancienne compagne du célèbre chef qui avait également témoigné dans les colonnes du magazine, aurait décidé de porter plainte. Une plainte dans laquelle elle décrit une « relation marquée par des disputes et des pressions psychologiques constantes ».

"Des violences physiques qu’elle-même exerçait à son encontre"

Des accusations auxquelles les avocates de Jean Imbert ont décidé de répondre via un communiqué transmis à nos confrères de RTL. Dans sa déposition, Lila Salet affirme que, lors d’un voyage en Italie en 2013, Jean Imbert l’aurait violentée après la réception d’un simple SMS envoyé par un ami, allant jusqu’à lui lancer du champagne au visage et l’empêcher de quitter leur chambre.

Ce à quoi les avocates du chef ont répondu :

Cette dernière a publié toutes les trois heures sur les réseaux sociaux des photos de musées, de restaurants, de commerces et autres images de ses promenades en ville, qualifiant ce séjour avec Jean Imbert de Dolce Vita. La chronologie comme le contenu des propres écrits de L. S. pendant ce week-end contredisent objectivement le récit proposé douze ans et demi plus tard par la plaignante.

Quant aux accusations d’Alexandra Rosenfeld, les deux avocates poursuivent :

Si Jean Imbert a assumé sa part de responsabilités et exprimé de profonds regrets au regard de cette relation, des témoignages et de nombreux messages qu’Alexandra Rosenfeld a adressés au cours de cette période à Jean Imbert font état des violences physiques qu’elle-même exerçait à son encontre.

Des messages que nos confrères de RTL affirment avoir pu consulter... et de révéler l’un d’entre eux : "T’es juste pas violent parce que tu sais que je suis pire."

S’il a préféré ne pas prendre directement la parole, Jean Imbert assure toutefois sa défense...