Darius Rochebin a fait ses premières armes dans la presse écrite. Après ses débuts de journaliste en 1987, il a rejoint la magazine L’Illustré. Ce, avant de faire ses premiers pas à la Radio Télévision Suisse (RTS). Et en août 2020, il a rejoint le groupe TF1. Celui qui a étudié la littérature française à l’Université de Genève est notamment aux commandes de l’émission Le 20.00 de Darius Rochebin, sur LCI.
L’époux de Marie Faure, médecin généraliste franco-suisse, était l’invité de l’émission On refait la télé, sur RTL, le 4 octobre dernier. L’occasion pour lui de se confier sur son parcours. Et le présentateur de 58 ans a également fait de rares révélations sur son entretien avec Christian Clavier. Il n’en garde visiblement pas de souvenirs agréables.
Christian Clavier s’en est rendu compte
Sur les ondes de RTL, Darius Rochebin s’est laissé aller à des confidences sur sa carrière. Et il a notamment parlé de son émission hebdomadaire Pardonnez-Moi, diffusée sur France 2, RTS et TV5 Monde, entre autres. Dans ce programme, il a reçu des personnalités du monde de la culture, de la politique ou du sport.
Lors de cette interview, Éric Dussart lui a demandé d’évoquer son pire souvenir d’interview. Darius Rochebin s’est alors confié sur son entretien avec l’ami du regretté Michel Blanc. "En réalité, il y en a plusieurs, parce que parfois, quand vous êtes mal préparé... Celui qui me revient le plus facilement, c'est Christian Clavier, parce que lui était très bien, et moi j'étais nul", confie-t-il.
Et de poursuivre :
Voilà. J'ai mal préparé, l'interview ne s'est pas bien passée. Il n'y avait rien de spécial, mais je posais des questions un peu à côté... Et il l'a très bien senti ! Il sait très bien piquer ! C'est quelqu'un que je ne connais pas du tout, à vrai dire, et s'il m'entend, je serais ravi de réparer cette interview.
Darius Rochebin revient sur son interview avec Vladimir Poutine
Toujours dans l’émission On refait la télé, le père de Maïa et Charlotte est également revenu sur son entretien avec le président russe. "On était dans une petite salle un peu pauvrette. Juste à côté, il y avait une grande salle où ils avaient lancé une musique très grandiose et soviétique", révèle-t-il.
Donc l'avoir face à soi avec ce fond musical qui commençait à monter... Il y avait un petit côté policier qui intimide (…) Il y a un interprète qui fait partie du renseignement russe. C'est toute la difficulté, parce qu'évidemment, il change un peu les questions. Si c'est trop dur, il ne veut pas que son président soit trop heurté. Il a modéré les questions. Dans la réponse (de Poutine), vous vous rendez compte que la question n'a pas été posée comme il faut.
Des confidences qui peuvent étonner.