La vie des influenceurs fait régulièrement des jaloux. Placements de produits juteux, voyages au bout du monde, cadeaux, notoriété... ces derniers mènent une existence en apparence facile qui en fait rêver plus d'un. Récemment, Mélanie Orl a été taclée par l'une de ses abonnés pour son supposé manque de travail. Une jeune femme l'a en effet accusée de ne pas faire grand chose. Des propos que la candidate des Cinquante n'a pas souhaité laisser passer. Furieuse, elle a souhaité mettre les choses au clair une bonne fois pour toutes.

De nouveaux projets qui ne font pas l'unanimité

Très active sur les réseaux sociaux, Mélanie Orl adore partager son quotidien avec sa communauté. Il y a quelques jours, celle qui pourrait aimer une femme a confié qu'elle avait "des projets plein la tête". Ravie de travailler sur des choses inédites et sur un "terrain" qu'elle ne connaît "pas forcément", la jolie brune avoue avoir encore "beaucoup à apprendre". Si elle "croise les doigts" et souhaite se donner tout le temps qu'il faudra pour maîtriser à la perfection ce qu'elle est en train de découvrir, elle n'est pas à l'abri des commentaires. Une certaine Charlène vient en effet de lui poser une question pour le moins surprenante :

Tu vas faire quelque chose de ta vie un jour ?

a-t-elle demandé de manière très directe.

Interpellée, la candidate de télé-réalité n'a pas hésité à rendre publique cette interrogation à laquelle elle a évidemment répondu.

Une réponse très directe

Sans doute habituée à ce genre de messages, Mélanie Orl a accepté de se justifier. Alors qu'elle s'ennuyait lors d'un voyage en train, l'ex de Greg Yega s'est fendue d'un petit mot à l'attention de Charlène. Après lui avoir souhaité d'avoir tout ce qu'elle avait à son âge, l'influenceuse a invité sa détractrice a "entreprendre" la même chose qu'elle et à être aussi "indépendante", "persévérante" et "autonome" plutôt que de "perdre du temps à envoyer des messages". Quelques lignes plus tard ,la candidate de télé-réalité a souhaité "tout le bonheur de monde" à l'internaute avant d'espérer que son "aigreur" ne la "perde pas".