Vladimir Poutine, président de la Russie et père de six enfants, aurait une autre fille âgée de 18 ans. Info ou intox ? On vous dit tout !

Une vie privée discrète

Les médias en savent très peu de la vie privée de Vladimir Poutine. Eh oui, ce dernier est plutôt de nature discrète.

C'est dans les années 1980, que le président russe a rencontré sa femme, Lioudmila. Avec elle, il a eu deux filles Maria et Ekaterina. Après 31 ans de vie commune, il avait annoncé son divorce. C'est lorsqu'il était marié qu'il aurait entamé une liaison avec la gymnaste russe Alina Kabaeva. Ils auraient eu trois enfants ensemble, dont des jumeaux. Elle aurait accouché d'eux en avril 2019, dans une clinique privée de Moscou, en toute discrétion.

 Vladimir Poutine, Alina Kabaeva @East2west News
Vladimir Poutine, Alina Kabaeva @East2west News

Les documents des Pandora Papers ont permis de faire quelques révélations sur une partie de la vie privée de Vladimir Poutine. Plus de 11 millions de fichiers ont été révélés au grand jour, dévoilant au passage les dessous financiers de plusieurs dirigeants mondiaux.

Ainsi, en 2003, l'ancienne maîtresse du président russe, Svetlana Krivonogich, aurait acquis un somptueux appartement de 4 millions de dollars, à Monaco. Elle l'aurait acheté peu de temps seulement après la naissance de sa fille. Une dépense colossale qui soulève bien des questions. Ancienne femme de ménage venant d'un milieu modeste, Svetlana serait maintenant à la tête d'une véritable fortune.

Vladimir Poutine papa illégitime ?

Le site d'investigation Proekt avait affirmé que Svetlana Krivonogich avait entretenu une liaison de plus de dix ans avec Vladimir Poutine. Selon ce même média, elle aurait donné naissance à leur fille, Elizaveta Vladimirovna Krivonogich, en 2003. Un prénom qui n'a pas été donné au hasard, puisque "Vladimirovna" signifie "fille de Vladimir" en russe. Et pourtant, la jeune fille âgée de 18 ans n'a pas de père déclaré à l'état civil.

Des rumeurs que le Kremlin avait vivement démenties. Le porte-parole avait alors déclaré ne pas avoir connaissance d'une relation adultérine du président avec Svetlana, ni de l'existence d'une fille illégitime. Le gouvernement avait alors interdit les activités du média Proekt sous peine de sanctions pénales.