On le sait, l’entente entre Donald Trump et son épouse, Melania Trump, est loin d’être au beau fixe. Les séquences où Melania Trump retire brutalement sa main lorsque son époux essaie de la saisir sont pléthore. Leur entente serait d’ailleurs tellement mauvaise que le divorce est une option possible et envisageable.

Une envie de divorce depuis longtemps

Selon le Daily Mail, Melania Trump « compte chaque minute jusqu’à ce qu’il s’en aille de la Maison Blanche pour qu’elle puisse divorcer ». Et ces dires ne sortent pas de la bouche de n’importe qui. C’est Omarosa Manigault-Newman, ancienne directrice de communication de l’Office of Public Liaison à la Maison Blanche qui a confié cela.

Une envie qui tarauderait Melania depuis longtemps mais qu’elle n’a pas pu réaliser auparavant pour une raison bien précise. Toujours selon Omarosa Manigault-Newman :

Si Melania avait tenté de lui infliger cette humiliation ultime et de le quitter lorsqu’il était en poste, il aurait trouvé un moyen de la punir.

En public, Melania Trump défend son mari

Et Melania Trump pense à son fils Barron avant tout. Elle aurait ainsi eu peur que ce soit son fils qui soit lésé, notamment au niveau de l’héritage si elle avait demandé le divorce durant le mandat de Donald Trump. Elle a donc tenu bon, défendant son époux, encore dernièrement après les résultats de l’élection indiquant que Joe Biden allait être le 46e président des États-Unis. Elle a ainsi publié un tweet, indiquant :

Le peuple américain mérite des élections justes. Chaque vote légal, pas illégal, doit être pris en compte. Nous devons protéger notre démocratie de manière complètement transparente.

Mais en privé, Melania Trump ferait partie de ceux qui tentent de convaincre Donald Trump d’accepter sa défaite. Peut-être une manière d’accélérer le processus pour pouvoir enfin demander le divorce qu’elle semble tant attendre. Melania Trump semble en effet avoir de plus en plus de mal à cacher ses désaccords avec son mari. Elle n’a ainsi pas assisté aux derniers meetings de campagne de son mari, arguant préférer être prudente après avoir eu le coronavirus et ce, malgré le fait qu’elle ne l’avait plus à ce moment-là.