Afin de promouvoir à l'étranger son album éponyme, Carla Bruni a accordé un long entretien au Vanity Fair espagnol. Ce mardi 16 mars, elle s'est livrée comme jamais sur ses projets musicaux, son mariage avec Nicolas Sarkozy ou encore ses secrets de beauté. À 53 ans, l'ex-top model a évidemment été questionnée sur la chirurgie esthétique. Elle a confié qu'elle n'avait pas recours au botox mais a livré le nom d'une technique efficace contre les signes du temps sur le visage.

Le botox ne serait pas la panacée

Carla Bruni l'affirme, la toxine botulique est très efficace mais peut s'avérer contre-productive passé un certain âge. Si elle avoue que les injections sont opportunes à la trentaine, ce n'est plus le cas vingt ans plus tard car "le problème n'est pas les rides mais que tout reste en place" :

Vous pouvez mettre du botox partout et ce qui tombe, tombe. En fait, le botox aggrave.

Affirme-t-elle avant d'avouer qu'elle a recours à un traitement miracle qui lui permet de rester jeune.

Des traitements au laser très efficaces

Pour garder son visage intact, Carla Bruni a opté pour un traitement au laser. L'épouse de Nicolas Sarkozy a donc choisi les ultrasons et la radiothérapie sans aiguilles :

Ce sont des machines qui stimulent le derme et l’épiderme et vous donnent un aspect naturel.

A-t-elle indiqué.

Le laser fractionné Fraxel retend la peau du visage et du corps de manière naturelle et non invasive. Il est recommandé de faire 4 séances minimum. Les séances ont un bénéfice de 5 ans et sont totalement indolores. Côté prix, il faut compter entre 450 et 500 euros la zone.

 Carla Bruni sublime à 53 ans @DR
Carla Bruni sublime à 53 ans @DR

En colère contre Emmanuel Macron

Carla Bruni est furieuse contre le pouvoir en place et déplore la gestion chaotique de la crise sanitaire. La soeur de Valeria Bruni-Tedeschi se demande "où sont les vaccins" qui permettraient à de nombreux secteurs de reprendre enfin leur activité. Elle est aussi très étonnée de constater que son mari avait réussi à vacciner "30 millions de personnes" contre le SRAS lorsqu'il était président et peine à comprendre pourquoi ce n'est pas le cas pour le Covid-19.

Enfin, l'ex-première dame regrette que "tout meurt" alors que des vaccins sont disponibles, mais que trop peu de gens y ont accès dans l'hexagone.