Shanna Kress et Jonathan Matijas filent le grand amour depuis maintenant cinq ans. Les deux jeunes gens ont fait connaissance en 2020, lorsque la jeune femme a fait son retour en France, après avoir vécu deux ans à Miami. Le 1er mai 2022, Shanna et Jonathan ont annoncé attendre des jumeaux. Hélas, un mois plus tard, le couple a procédé à une IVG sur l'un des bébés, Christopher, atteint de trisomie 21. Une douloureuse épreuve, qui n'a fait que renforcer leur amour.

Le 20 novembre 2022, la Marseillaise a accouché d'un petit garçon prénommé Loüka. Mais alors qu’ils n’aspirent qu’à une vie tranquille dans le sud de la France avec leur fils, le quotidien de Shanna et Jonathan est quelque peu gâché par le comportement en ligne de certains de leurs anciens collègues. Les choses ont d’ailleurs dégénéré la semaine dernière, lorsque Jonathan et Illan Castronovo ont fait parler d’eux sur la Toile.

Une rencontre qui vire au règlement de compte

Il y a quelques jours, Shanna prenait la parole pour apporter son soutien aux manifestants qui ont pris part à la journée de mobilisation du 10 septembre dernier. Mais la jeune maman a été vivement critiquée par certains influenceurs, qui estiment que vu sa carrière, elle n’aurait pas son mot à dire. C’est notamment le cas de Bastos, dont les propos ont profondément "peiné" Shanna, ou bien d’Illan, qui n’a pu s’empêcher de rajouter son grain de sel.

Aussi, lorsque Jonathan est tombé sur Illan dans les rues de Nice, il n’a pu se contenir et a cédé à la violence. Une réaction à chaud, qu’il regrette dans la forme mais pas vraiment sur le fond. Alors que la vidéo de leur échange musclé a fait le tour de la Toile, le papa de Loüka est sorti du silence le 14 septembre dernier et a déclaré "regretter de ne pas avoir eu le choix d’en arriver là" :

J’aurais aimé faire autrement mais j’ai tout essayé. Je m’excuse auprès des jeunes et de leurs parents, j’espère que l’honneur et la sérénité de vos foyers ne seront jamais pris pour cible.

Et d’évoquer l’accumulation qui l’a poussé à en venir aux mains :

Nous avons plus de 500 vidéos, des SMS, des DMs etc, dans lesquelles tous ceux que j’ai cités dans la vidéo nous diffament, insultent ou menacent. (…) Je vous rappelle que la vraie vie ce n’est pas Instagram, c’est se perdre dans les yeux de sa femme en pleurs parce qu’elle se fait humilier en public, c’est se demander si tu vas tout arrêter car ce monde te dégoûte.

Shanna Kress à bout

Puis c’est Shanna qui s’est de nouveau exprimée, visiblement dépassée par l’ampleur de la situation. En larmes face à la caméra de son téléphone, la mère de famille a fait part de son désarroi et a tenu à rappeler que toute action n’est pas sans conséquences : "Je ne sais pas si vous comprenez réellement ce qui se passe. On est face à des gens qui veulent le buzz à tout prix. (…) Ces gens ne cherchent que le buzz et n’en ont rien à faire de ce qu’il peut se passer par la suite. (…) Ça fait des années qu’on est rabaissés et humiliés par eux", a-t-elle déploré.

Si elle a admis que son compagnon n’a pas eu la bonne réaction face à Illan Castronovo, celle qui s’est fait connaître dans Les Marseillais à Miami a bien fait comprendre qu’ils n’avaient pas l’intention de capituler :

Ils n’ont eu que ce qu’ils voulaient. Maintenant, on fait quoi ? On doit arrêter les réseaux sociaux pour eux ? C’est ce qu’ils veulent mais ils ne gagneront pas.

Ainsi, vous l’aurez compris, Shanna Kress et Jonathan Matijas ne sont pas près de déserter les réseaux sociaux, quoi qu’en disent leurs détracteurs et malgré les répercussions sur leurs vies personnelles. "Je sens que je suis dans un tel état de nerfs que quand je suis avec mon fils, je fais des exercices de respiration pour qu’il ne ressente pas mon mal-être… Malheureusement, il le ressent quand même", s’est-elle désolée.

Et de rappeler :

On n’a pas demandé d’être dans cette situation. Il s’est passé ça parce qu’on nous cherchait depuis trop longtemps. (…) La violence, ce n’est pas bien, je suis d’accord mais il faut nous lâcher la grappe au bout d’un moment !

Et vous, qu'en pensez-vous ?