Qu’on aime ou non Aya Nakamura, une chose est sûre : elle ne laisse personne indifférent. Lorsqu’il a été annoncé qu’elle chanterait lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris en 2024, les réactions se sont rapidement divisées. Plus d’un an après son passage, entourée de la Garde républicaine, la présence de la chanteuse à cet événement prestigieux fait encore et toujours parler.

Nelson Monfort, pas fan de la participation d’Aya Nakamura à l’ouverture des JO

C’est dans un extrait du prochain numéro de Complément d’enquête, diffusé ce jeudi 6 novembre, que Nelson Monfort a été interrogé à ce sujet. En évoquant le wokisme et en cherchant à déterminer si ses partisans étaient des défenseurs des libertés et des minorités ou bien des censeurs, le célèbre commentateur a livré son point de vue.

“Je n'ai rien contre Aya Nakamura, qui est peut-être même la chanteuse qui vend le plus de disques en France, donc elle a du talent. Mais je ne pense pas qu'Aya Nakamura fréquente assidûment l'Académie française. Donc, de voir Aya Nakamura qui sort de l'Académie française, déjà, il y a quelque chose qui cloche. Et après, les gardes républicains qui se ridiculisent, je ne pense pas que c'était indispensable”.

Pour rappel, Aya Nakamura était sortie de l’Institut de France avant de se lancer dans un medley de ses chansons mêlées à celles du regretté Charles Aznavour. De quoi révolter une partie des Français, tandis qu’une autre célébrait sa prestation.

Des critiques qui ont blessé les proches d’Aya Nakamura

Si Aya Nakamura est tristement habituée aux critiques malgré son succès international, il ne faut pas oublier qu’elle a aussi une famille, elle-même touchée par les attaques dont la chanteuse a pu faire l’objet.

“Forcément, j’ai été touchée”, avait-elle confié sur le plateau de C à vous en novembre 2024, en revenant sur les remarques liées à sa participation à l’ouverture des JO. Mais le plus difficile, selon elle, a été de voir ses proches également affectés.

“C'est quand même ma passion, on a touché à quelque chose qui me fait vibrer naturellement. (...) La première fois, comme j'ai l'habitude de me faire critiquer, j'ai vu ça comme une critique de plus. Mais dès que j'ai vu ma famille être touchée, je me suis dit 'oula' !”

Plus d’un an après, le sujet semble toujours d’actualité.