Hoshi a choisi de rompre le silence. Sur ses réseaux sociaux, ce lundi 3 novembre, la chanteuse a livré un témoignage bouleversant sur une ancienne relation amoureuse devenue, selon ses mots, “un enfer”.

Plusieurs plaintes déposées

“Je n’ai pas l’habitude de déballer ma vie privée ici. Je n’ai plus le choix. Je refuse de me taire davantage”, explique-t-elle, précisant avoir “déposé plusieurs plaintes contre ex-compagne et ex-manageuse” pour des faits aujourd’hui “au cœur d’une enquête”. “J’ai été salie, abusée, et je ne peux laisser cette situation perdurer.”

Hoshi confie avoir été “manipulée, humiliée, réduite au silence”, et raconte comment son ex aurait pris “le contrôle de vie, de choix, de repères”. Elle évoque des “situations où consentement n’existait plus” : “J’ai dit non. J’ai répété que je ne le voulais pas (...). Elle a contourné mes limites, me faisant croire que céder, c’était aimer.”

Gia Martinelli répond

Un message qui a ému les internautes, nombreux à lui avoir apporté leur soutien... mais qui a également provoqué la colère de Gia Martinelli. Cette dernière n’est autre que l’ex-compagne de Hoshi, mais aussi son ancienne manageuse.

Les deux femmes se sont séparées il y a un peu plus d’un an. À l’époque, Hoshi n’avait pas hésité à évoquer cette rupture douloureuse en chanson.

Gia Martinelli s’est, à son tour, saisie de ses réseaux sociaux afin de répondre à son ex : “J’ai découvert avec stupeur hier soir la campagne particulièrement calomnieuse lancée à mon encontre sur les réseaux sociaux par mon ancienne compagne”, a-t-elle lâché dans un premier temps.

Et de poursuivre :

Tout peut être dit, mais tout n’est pas utile, surtout lorsque c’est mensonger, scandaleux et indigne de notre histoire d’amour et de notre relation professionnelle. À compter de ce jour, je poursuivrai toute atteinte à ma dignité, mon honneur, ma réputation devant les juridictions compétentes.

Si elles se sont autrefois aimées, les deux femmes se déchirent aujourd’hui. Une affaire qui est désormais entre les mains de la justice.