Les ennuis continuent pour We Events. Après l'affaire Wesley Nakache, la célèbre agence d'influenceurs est à nouveau dans la tourmente. En cause cette foi-ci : les shampoings Nicky Cosmetics. Une marque très populaire sur les réseaux sociaux. En effet, de nombreux candidats de télé-réalité, à l'instar de Maeva Ghennam, Astrid Nielsa ou encore Martika Caringella, n'hésitent pas à vanter les mérites de ces shampoings.

Le problème ? La composition desdits shampoings. Nos confrères de 60 millions de consommateurs se sont récemment penchés sur le sujet. Ils avaient notamment déclaré, au cours d'une enquête publiée sur leur site :

Compte tenu de la présence importante de substances allergisantes et de substances irritantes dans les produits Nicky Paris, il n’est pas aberrant d’imaginer que plusieurs utilisateurs aient développé des réactions cutanées.

Une coiffeuse affirme être harcelée par la marque

C'est au tour désormais d'une coiffeuse de pointer du doigt les shampoings Nicky Cosmetics. C'est via son blog qu'elle a tenu à mettre en garde ses clientes :

Toutes les crèmes sans rinçage sauf les gammes à base de kératine et collagène, contiennent du méthylchloroisothiazolinone et du méthylisothiazolinone. Ce mélange de conservateurs est extrêmement irritant et est INTERDIT depuis 2016 dans les cosmétiques sans rinçage. Il est donc primordial de prévenir votre coiffeur au préalable si vous utilisez la marque Nicky Cosmétiques. Aujourd'hui, certains refusent même de prendre des clientes utilisant la marque.

Depuis la parution de son article, la jeune coiffeuse affirme avoir été victime de harcèlement de la part d'une agence de communication de crise, qui lui aurait passé près de 500 appels par jour.

Nicky Cosmetics fondée par... Wesley Nakache

Face à la polémique, l'agence We Events doit essuyer de nouvelles critiques. Et pour cause : comme le souligne la journaliste Perrine Stenger, la célèbre marque de shampoings a été "fondée par Welsley Nakache, également fondateur de We Events"...

La marque réagit

Nouveau bad buzz donc pour l'agence d'influenceurs, qui ne s'est pas exprimée sur cette polémique. En revanche, la marque Nicky Cosmetics est quant à elle sortie de son silence. C'est vie un long post publié en story Instagram qu'elle a dénoncé "un dénigrement injuste".

Et de préciser :

Cette jeune coiffeuse, aux publications sulfureuses, distribuant une marque de shampoings concurrente, a délibérément diffusé sur le site internet de son salon de coiffure cette fakenews, en précisant d'ailleurs dans son post (avant de l'actualiser à plusieurs reprises) que ces photos n'étaient pas "contractuelles".