Entre Julien Bert et Hilona Gos, tout avait commencé tel un conte de fées. Les deux candidats de télé-réalité se sont plus au premier regard, sur le tournage de la septième saison des Princes et Princesses de l’Amour, bien que la jeune femme ait d’abord repoussé les avances de Julien. Connaissant la réputation de coureur de jupons du Stéphanois, Hilona n'a pas voulu croire aux belles paroles du beau blond.

Mais celui-ci est parvenu à ses fins et les deux jeunes gens ont quitté l’aventure en couple. Ensuite, tout est allé très vite entre eux. Hilona a quitté sa Corse natale pour s’installer dans la région lyonnaise avec son cher et tendre et ils ont même adopté un chien. Visiblement très épris l’un de l’autre, Julien et Hilona se sont fiancés un an après leur rencontre. Une demande en mariage qui a été retransmise à la télé, dans un épisode de la saison 8 de l’ancien programme de dating de W9. Mais si le couple s’affichait fou d’amour sur les réseaux sociaux, il faut croire que tout n’était pas si rose derrière les portes closes.

Julien Bert, un escroc violent ?

En effet, en février dernier, Hilona agitait la Toile après avoir affirmé qu’elle avait été victime de violences conjugales. La jolie brune aurait vécu un calvaire du temps de sa relation avec Julien, qui s’en serait pris à elle physiquement :

Son regard a changé, il avait les yeux noirs, c'était plus la même personne. Il a levé la main, il m'a attrapée, il m’a étranglée. Je n'arrivais plus à respirer, ça a duré seulement quelques secondes, le temps qu'il réalise.

confiait-elle dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube.

En outre, Julien se serait révélé être un piètre homme d’affaires. Les ex-fiancés ont décidé de s’associer pour lancer leur marque de produits de beauté, et Julien aurait eu tendance à confondre les comptes de la société avec son compte personnel. Il aurait ainsi escroqué Hilona à hauteur de 80 000 euros. Une coquette somme qu’il s’était engagé à lui rembourser le plus rapidement possible Mais il faut croire qu’il ne s’agissait que de paroles en l’air.

La plupart des internautes ont pris le parti d’Hilona et n’ont pas manqué de le faire savoir à Julien. Face au flot de commentaires négatifs qu’il a pu recevoir, Julien s’est défendu à plusieurs reprises sur la Toile. S’il a reconnu qu’il n’avait pas toujours eu un comportement exemplaire envers son ex, il a toujours nié en bloc les accusations de violences, rappelant que la candidate découverte dans 10 Couples Parfaits 2 lui avait déjà jeté un téléphone au visage lors d’une dispute.

Hilona Gos revient sur l’affaire

Récemment, Rawell et Rania Saïdi ont posté une vidéo sur TikTok, dans laquelle les jumelles jouent la comédie, avec en fond sonore une vive dispute entre Julien et Hilona. Mais si elles s’attendaient à faire rire la galerie, cela n’a pas été le cas. Les internautes ont été nombreux à crier au scandale et ils n’ont pas été les seuls à réagir.

La publication des Marseillaises n’a pas échappé à la chérie de Paul-André, qui n’a pas tardé à prendre la parole : "J’ai vu la vidéo de Rawell et Rania qui ne m'a absolument pas fait rire, pas parce qu'elle n'est pas drôle, mais parce que ce sujet me touche", a-t-elle déclaré en story Instagram, appelant au passage à ne pas blâmer les sœurs Saïdi.

Elle a toutefois tenu à rappeler que ce qu’elle a vécu avec Julien n’était pas à prendre à la légère :

Ce n'est pas une vidéo marrante, car par rapport à cette époque, oui, j'ai véritablement porté plainte contre Julien pour violence et abus de biens sociaux.

Lancée dans ses déclarations, Hilona a fait savoir qu’elle n’en avait toujours pas fini avec son ex. Néanmoins, les choses suivent leur cours.

L'enquête est terminée et un procès contre lui aura lieu en décembre.

A-t-elle annoncé, avant de préciser qu'elle attend toujours l'argent qui aurait été dérobé pendant plusieurs mois.

Non, Julien n'a jamais jamais jamais rien remboursé de tout ce qu'il a volé, que ce soit sur la société ou tout le reste. Comme ça, le sujet est clos et tout est clair.

La hache de guerre semble loin d'être enterrée.