Le 17 mars dernier, Greg Yega a fait le choix de vivre le confinement chez lui avec Paga. Mais depuis le 11 mai, le jeune homme doit apprendre à vivre sans celui qu’il considère comme son pilier. Et c’est plus difficile qu’il ne le pensait. Hier soir, sur son compte Snapchat, l’ex de Maeva Ghennam est apparu en larmes :

Je ne pleure pas parce que je suis dégoûté. J'ai passé mon confinement avec Paga et il est parti. Je ne l'ai pas vu partir... Du coup, je suis rentré et je suis tout seul. Quand on reste deux mois collé avec son meilleur ami et qu'il part, ça fait bizarre d'être tout seul à la maison. Il me manque ! Je suis en mode décla, je m'en balek ! Paga me fait grandir au quotidien. J'ai fait du sport, perdu du poids et retrouvé une hygiène de vie grâce à Paga. Heureusement qu'il est là et je ne lui dis pas assez. Tu me manques mon frère et merci pour tout, je t'aime.

A-t-il déclaré très ému.

« On s’est beaucoup pris la tête »

Si Greg Yega et Paga s’entendent à la perfection, ils se sont aussi querellés à de nombreuses reprises durant ces longues semaines passées ensemble :

Pendant ce confinement, on s'est beaucoup pris la tête, on s'est beaucoup disputé. Il y avait des moments où on ne pouvait plus se voir, que ce soit lui ou moi. On ne se parlait plus, on s'engueulait ! Mais je pense que c'est l'amour et l'amitié qui fait ça. On avait une relation de frères.

A expliqué le marseillais.

Malgré cela, le jeune homme garde un excellent souvenir de cette période particulière qui l’a aidé à grandir et à se recentrer sur lui-même :

Je me retrouve solo. J'ai Nico avec moi, mais Paga fait un travail au quotidien avec moi. Pour supporter le bebew, il en faut ! Ce sont des larmes de joie et de tristesse parce que j'ai un cœur et je l'aime trop ce mec ! C'est ma vie Paga ! Je suis dég' qu'il soit parti...J'ai repris un bon rythme ! (...) Paga m'a toujours pris sous son aile. Il a toujours cru en moi et ne m'a jamais mis de bâtons dans les roues. Il ne me l'a jamais fait à l'envers, il a toujours été là pour m'aider, pour m'épauler. C'est mon grand frère. Merci Paga de me supporter.

A-t-il conclu reconnaissant.

Une belle amitié qui traverse le temps et les difficultés.