Entre les Sussex et le reste de la famille royale, les tensions sont loin d'être sur le point de s'apaiser. Depuis qu'ils ont décidé de renoncer à leurs engagements royaux, le prince Harry et Meghan Markle ont également pris la décision de régler leurs comptes avec les Windsor.

 Prince Harry et Meghan Markle @ DR
Prince Harry et Meghan Markle @ DR

C'est l'interview choc qu'ils ont accordée à Oprah Winfrey en mars 2021 qui a mis le feu aux poudres. Meghan Markle a déclaré avoir eu des "pensées suicidaires" lorsqu'elle vivait auprès de sa belle-famille et que son fils, Archie, avait fait l'objet de remarques racistes avant même sa naissance. Des affirmations démenties par la Couronne mais qui ont fini de signer la scission entre les deux clans.

Une tentative de réconciliation refusée

Comme l'a révélé le Daily Mail, près de deux ans après la brouille, le prince Charles a décidé de faire un pas en avant vers son fils cadet. Il a ainsi invité les Sussex à lui rendre visite au Royaume-Uni. Le duc de Cornouailles n'a en effet encore jamais vu sa petite-fille Lilibet, qui a vu le jour en Californie en juin 2021. Mais contre toute attente, l'invitation a été déclinée par le prince Harry.

Le duc de Sussex a fait savoir via son porte-parole que si sa sécurité et celle de sa famille n'était pas assurée, personne ne ferait le déplacement :

Si son rôle au sein de l'institution a changé, il reste un membre de la famille royale. Et à ce titre, les menaces qui pèsent contre lui et les siens n'ont pas changé.

Mais le prince Harry semble avoir oublié qu'en renonçant à rester un membre actif de la famille royale, il a perdu les avantages qui allaient avec. À savoir, une garde rapprochée à sa disposition et financée par la Couronne.

Elizabeth II n'interviendra pas

Alors qu'il est très proche de sa grand-mère, le prince Harry s'attendait sans doute à ce que la monarque réagisse. Mais selon un proche des Windsor au Daily Mail, Elizabeth II n'a aucunement l'intention de céder au caprice de son petit-fils :

Elle ne cèdera pas à ses exigences. C'est l'affaire du gouvernement de sa Majesté. La protection policière n'est pas un cadeau que la reine peut donner ou retirer quand bon lui semble.

En outre, elle a déjà fort à faire avec le prince Andrew, accusé de viol et mêlé au scandale de l'affaire Jeffey Epstein. Le deuxième fils de la reine Elizabeth II et du prince Philip a été déchu de tous ses parrainages royaux et titres militaires et est à présent un simple citoyen britannique.