Ce mardi 11 février, le duc et la duchesse de Sussex se sont rendus en Californie, plus précisément à l'Université de Stanford à Palo Alto. Buckingham Palace a confirmé que le couple a été accueilli par le président de l'institution, Marc Tessier-Lavigne. De plus, Meghan Markle et le prince Harry ont rencontré des professeurs et des universitaires qui ont participé à une "session de remue-méninges" de quelques heures.

En démissionnant de leurs fonctions royales, le couple annonçait vouloir lancer une organisation mondiale à but non lucratif. Cette visite à l'Université de Stanford leur a permis de poser les bases sur leur travail pour "développer et construire leur nouvelle organisation caritative".

La semaine dernière, les Sussex faisaient leur première apparition publique suite à l’annonce de leur grande décision. Ils assistaient à un événement de JP Morgan à Miami, lors duquel le prince Harry a prononcé un discours. Cette visite en Floride avait particulièrement fait jaser. En effet, le couple s’était attiré les foudres des internautes car il aurait reçu entre 500 000 et un million de dollars pour son intervention.

Un désir d’indépendance financière

Meghan Markle et le prince Harry ont annoncé qu’ils souhaitaient être indépendants financièrement. Le couple semble avoir plein de projets en tête. Récemment, le duc de Sussex affirmait dans un discours qu’il aurait voulu continuer à servir "la reine, le Commonwealth et associations militaires, mais sans financement public. Malheureusement, ce n'était pas possible".

Si les Sussex sont beaucoup critiqués suite à leur démission, le prince Harry a affirmé qu’il n’avait pas pris sa décision "à la légère".
Il confiait alors :

Il y a eu tant de mois de pourparlers après tant d'années de défis. Et je sais que je n'ai pas toujours fait les choses correctement, mais en ce qui concerne cela, il n'y avait vraiment pas d'autre option. Ce que je veux dire clairement, c'est que nous ne nous éloignons pas. Et nous ne nous éloignons certainement pas de vous.

Les Sussex vivent désormais une vie plus paisible au Canada, bien loin de la pression médiatique qui était devenue difficile à gérer.