Le prince Harry est assurément le vilain petit canard de la famille royale. Et pour cause, le jeune homme a, depuis son plus jeune âge, toujours contesté l'ordre établi. On se souvient notamment des nombreux scandales dont il a fait l'objet outre-Manche. À l'âge de 17 ans, le mari de Meghan Markle faisait la une des tabloïds en raison de sa consommation de cannabis et de ses altercations avec les paparazzi.

Profondément traumatisé par le décès de sa mère, Lady Diana, le prince Harry a toujours combattu la presse people. Ses désaccords avec la royauté britannique ont également été nombreux. Mais au fil des années, le papa du petit Archie s'est très clairement assagi...

Le prince Harry, un prince au mauvais caractère ?

Un avis qui n'est pas vraiment partagé par la biographe du jeune homme, Angela Levin. Récemment interrogée dans TalkRadio, celle-ci ne s'est pas gênée pour dresser un portrait peu flatteur du prince Harry. D'après elle, le petit-fils d'Elizabeth II aurait besoin “d'être méchant” pour concurrencer son frère. Mais ce n'est pas tout. Celui-ci aurait également constamment besoin de “se montrer”.

Afin de justifier ses dires, Angela Levin a cité un exemple récent. Il y a quelques jours, à l'occasion de ses 40 ans, Meghan Markle a posté une vidéo dans laquelle elle annonçait l’opération 40x40. Une opération ayant pour but d'aider les femmes à retrouver un travail après la crise du Covid-19 ! Dans cette courte vidéo, on peut apercevoir le prince Harry en train de jongler derrière une ferrière. Un comportement problématique d'après cette biographe :

Je pense qu’il cherche à être plus important que William, et donc il a la capacité aujourd’hui de dire des choses qu’il ne pouvait pas se permettre avant, et il aime être méchant comme lorsqu’il jouait avec les balles dehors.

Une attitude pas surprenante

Mais pour Angela Levin, l'attitude du prince Harry n'est pas vraiment surprenante. En effet, celle-ci a pu l'analyser depuis son enfance et rechercher les éléments l'ayant conduit à adopter un tel comportement aujourd'hui. Cela remonterait, d'après elle, à la période où il était au Collège d’Eton, un lieu qu'il détestait...

L’une des raisons qui m’est venue à l’esprit est que, quand il était à Eton, il détestait être là-bas, et il a décidé d’être avec les mauvais garçons. Je pense qu’Harry a eu cette phase, comme beaucoup d’entre nous, mais nous avons mis de côté cette phase d’être méchant pour se montrer.

La biographe a également fini par conclure que le public réaliserait très rapidement toute la supercherie autour de Meghan Markle & Harry. La perte récente de nombreux abonnés sur leur compte Instagram en est le parfait exemple d'après elle.