Une découverte macabre

En quête d'une vie plus simple et sereine, Harry et Meghan Markle ont tout quitté. Après un départ de la monarchie vivement critiqué, le couple a décidé de poser ses valises sous le soleil de Los Angeles.

Un rêve qui s'est concrétisé avec l'achat d'un palace à Montecito. Malheureusement, la vie réserve parfois de curieuses surprises ! Ce 2 juin, Page Six révèle que des restes humains ont été découverts non loin de la résidence du jeune couple.

 La propriété de Meghan Markle et du prince Harry à Montecito. Sotheby's
La propriété de Meghan Markle et du prince Harry à Montecito. Sotheby's

Des ossements "anciens"

Ils ont tout fait pour gagner en tranquillité. Fuyant la pression et les obligations dues à leurs rangs, le duc et la duchesse de Sussex ont tout lâché. Alors qu'ils s'apprêtent à avoir un second enfant, Meghan et Harry se sont d'abord réfugiés au Canada avant de s'installer à Montecito.

À l'abri au sein de leur luxueuse résidence à 11 millions d'euros, les parents du petit Archie profitent d'un immense jardin mais pas que ! A disposition se trouvent un court de tennis, un salon de thé, un cottage pour enfants et une piscine. S'ajoutent à cela, une maison d'hôtes, un spa, un sauna, une salle de sport, une salle de jeux, un théâtre, une cave à vins et un garage pour cinq voitures. Le tout agrémenté d'un système de sécurité ! Pourtant, des restes humains ont été retrouvés sur une route à proximité.

Les restes humains seraient ceux d’un jeune adulte. Le bureau du shérif de Santa Barbara évoque des ossements « très anciens ». Ces derniers auraient été découvert le 24 mai dernier lors de travaux d’aménagement paysager. Une découverte macabre mais intéressante puisqu’il pourrait s’agir d’ossements appartenant au peuple Chumash, installé dans la région depuis 10 000 ans. Un anthropologue médico-légal a été amené pour aider les enquêteurs, mais l’hypothèse reste encore à confirmer. Interrogé par nos confrères du Daily Mail, un porte-parole des forces de l’ordre déclare :

Jusqu'à ce que nous ayons confirmation de l'anthropologue légiste, nous ne formulerons pas plus d'hypothèses.

La police est en pleine discussion avec la commission locale des Amérindiens. L'objectif : déterminer la date et la provenance exacte des ossements retrouvés.