Depuis qu’il est monté sur le trône à la mort de la reine Elizabeth II, le 8 septembre 2022, Charles III s’attache à préserver les piliers de la monarchie, tout en affirmant ses propres exigences. Et lorsqu’un dysfonctionnement survient, le roi tranche sans attendre, même si cela suscite la polémique.

Un fiasco lors de la chasse traditionnelle du 26 décembre

Chaque année, la famille royale perpétue une tradition bien ancrée : la chasse au faisan du Boxing Day, organisée dans le comté de Norfolk, sur les terres de Sandringham. Un rendez-vous attendu, mais cette édition a tourné au fiasco. Selon The Sun, le gibier s’est fait si rare que la battue a été un échec total, ce qui aurait fortement irrité le roi.

Une source proche aurait confié au média : « C’était une véritable catastrophe. Pas d’oiseaux, pas de coups de feu, juste des visages rouges de honte. » Une situation intolérable pour Charles III, qui n’aurait pas hésité à sanctionner immédiatement le responsable présumé : le garde-chasse. « Le roi ne voulait rien entendre », ajoute la même source.

Un licenciement qui ne fait pas l’unanimité

Cette décision expéditive a choqué certains proches de la Cour, mais envoie un signal fort : la tradition doit être respectée à tout prix. Pour Charles III, cette chasse n’est pas un simple passe-temps, mais un marqueur symbolique de l’unité familiale, notamment dans un contexte où les tensions au sein des Windsor demeurent vives.

En effet, la dernière participation de la famille au grand complet à cette chasse remonte à 2018, avant le départ du prince Harry et de Meghan Markle pour les États-Unis. Malgré les critiques sur cette pratique, Charles reste déterminé à préserver cette coutume.

Alors que le Boxing Day Pheasant Shoot refait parler de lui, une question demeure : verra-t-on un jour la réconciliation tant espérée entre le prince Harry et sa famille ? Pour l’heure, Charles III semble bien plus préoccupé par la continuité de ses traditions que par les querelles internes.