Yann Moix est un écrivain et chroniqueur souvent critiqué. Récemment, c’est sa propre famille qu’il semble s’être mis à dos après avoir fait des révélations chocs dans son récit autobiographique intitulé Orléans.

Son frère Alexandre était sorti du silence pour affirmer que Yann Moix ne cessait de mentir aux sujets des prétendus sévices dont il aurait été la victime durant son enfance. Alexandre a même affirmé que son frère était son « bourreau ».

Eric Naulleau a décidé de mener son enquête en allant interroger la grand-mère maternelle des deux frères. C’est en exclusivité pour Touche pas à mon Poste qu’elle a bien voulu en dire plus. Eric Naulleau avait dévoilé quelques extraits de son interview qui a été dévoilée dans son intégralité mardi 24 septembre.

La grand-mère de Yann Moix accuse ses parents de vouloir « le démolir »

Durant son interview, la grand-mère de 93 ans n’a pas hésité à balancer et donner son avis sur la situation. Elle prend alors clairement la défense de Yann Moix.

Je suis désolée pour Yann parce que c’est un gamin qui méritait, il s’est fait sa carrière tout seul. Et là on est en train de détruire sa carrière, c’est déjà fait. Un jour ma fille m’a appelée et m’a dit « De toute façon, on va le démolir ». J’ai trouvé ça de la part des parents un peu abusif. Même si on a parfois un peu des préférences, on ne doit pas arriver à ce point-là quand même. Ça va trop loin.

Attristée par cette histoire, elle a ajouté :

Non seulement ils détruisent sa carrière mais c’est lui-même qu’ils sont en train de détruire.

Alors que la grand-mère aurait demandé à sa fille si elle voulait la mort de son enfant, cette dernière aurait répondu : « Non, on veut lui gâcher sa vie ». Elle a aussi affirmé qu'Alexandre a toujours été jaloux de son frère.

Il a toujours été sournois, faux jeton. Il cachait son jeu.

Pour Eric Naulleau, « il y a une volonté délibérée de nuire à Yann Moix » Il a également affirmé que la grand-mère de Yann Moix se fait, depuis ses confessions, harcelée par son petit fils Alexandre ainsi que par sa propre fille.