Le coronavirus ? Victoria Abril ne veut pas en entendre parler ! Invitée ce jeudi 25 février 2021 à la remise de prix Feroz, qui s'est déroulée à Madrid, la comédienne ne s'est pas fait prier pour dire tout le mal qu'elle pensait de la crise sanitaire. D'ailleurs, comme le souligne le journal La Vanguardia, c'est sans masque que l'ancienne héroïne de la série Clem est apparue sur le tapis rouge... Et elle était la seule à ne pas en avoir.

 Victoria Abril lors des prix Feroz @Getty Images
Victoria Abril lors des prix Feroz @Getty Images

"On ne peut pas vivre dans la peur"

"Ce n'est pas le Covid, c'est un coronacircus. J'en ai assez de cette farce", a-t-elle lâché en conférence de presse, avant de s'exclamer :

On ne peut pas vivre dans la peur. Il y a quelque chose de pire que de perdre la vie, c'est de perdre la raison de vivre. Alors ça suffit, non ?

Ainsi, elle n'a pas hésité à comparer la crise sanitaire... à un feuilleton télé. "Il y a la première vague, la deuxième, on en est à la troisième avec le variant anglais", a-t-elle énuméré, avant de rappeler que désormais, nous devons faire face au variant sud-africain, brésilien et même californien.

Autant de mutations du coronavirus qui ne semblent pas préoccuper Victoria Abril, bien au contraire. La comédienne n'a pas hésité à tacler au passage la politique d'Emmanuel Macron face à la crise. Une politique qui, selon elle, est une atteinte aux "libertés fondamentales".

Et d'expliquer :

On ne peut pas aller au restaurant, à une exposition, danser... On ne peut pas se rencontrer depuis un an.

Résultat, la comédienne a décidé de poser ses valises à Malaga, afin de "pouvoir respirer".

"Les effets du vaccin ne sont pas connus"

Et si Victoria Abril refuse d'entendre parler du coronavirus, il en est de même pour la campagne de vaccination. En effet, la comédienne ne mâche pas ses mots sur le sujet. Et force est de constater qu'elle a un avis très tranché sur la question.

En effet, l'actrice espagnole a confié :

Ils nous ont transformés en cobayes. Les effets du vaccin ne sont pas connus.

Sentant la polémique, la réalisatrice María Guerra, qui animait la conférence de presse, a tenté de l'interrompre... Mais c'est mal connaître Victoria Abril que de penser qu'elle allait s'arrêter aussi facilement. Non, la comédienne s'est exclamée :

Laissez-moi parler. Ils nous empoisonnent.

Avant de conclure :

Si je dois passer pour une complotiste, alors soit.

Des propos qui font désormais couler beaucoup d'encre... aussi bien en France qu'en Espagne !