Stéphane Plaza est actuellement confronté à des accusations sérieuses de violences conjugales émanant de trois de ses ex-compagnes. Les allégations, révélées dans les colonnes de Mediapart, portent sur des violences physiques et psychologiques. Si l'animateur a toujours nié fermement toutes les accusations portées à son encontre, voilà maintenant qu’un nouvel élément a fait son apparition. Et le moins que l’on puisse dire est qu’il n’est pas en faveur de l’agent immobilier.

De nouvelles révélations

Jeudi 9 novembre, 2023 au cours d’une conversation diffusée sur le podcast Le titre à la Une, Sarah Brethes, la journaliste à qui l'on doit l'enquête de Mediapart, a indiqué avoir reçu un autre témoignage d'une femme qui aurait été en couple avec Stépahne Plaza. Toutefois, elle ne peut pas l'utiliser parce que cette prétendue compagne n'a gardé aucune trace de ce qu'elle avance. En tout cas, les faits seraient similaires à ceux vécus par les anciennes compagnes de l'animateur.

Selon la journaliste de Mediapart, celle-ci aurait été victime de “violence psychologique, d’une certaine brutalité”.

Je ne sais pas si on pourrait parler de la qualification pénale de violence, mais il faut aussi savoir que j’ai également recueilli d’autres témoignages d’autres femmes qui n’apparaissent pas dans l’article parce qu’elles n’ont pas souhaité figurer dans une enquête de presse. Il faut bien le dire quand même, c’est que ces femmes ont très peur de Stéphane Plaza. 

Selon ses dires, Stéphane Plaza ne manquerait pas une occasion de “rappeler sa puissance médiatique, économique, à ses compagnes”. L'animateur aurait usé de sa notoriété et de son influence pour réduire l'estime de ses compagnes.

Et de poursuivre :

Je peux vous dire que les femmes qui ont témoigné, pour certaines, ont encore très peur aujourd’hui.

Témoignage d'une victime présumée de Stéphane Plaza

Samedi 4 novembre 2023, une femme prétendant être une ex-compagne de Stéphane Plaza a décidé de tout dévoiler au Parisien. Selon ses dires, Stéphane Plaza pouvait se montrer "très aimant" et "très prévenant". Toutefois, il lui arrivait souvent d’être “en état second” durant lequel il faisait “crises de violence”.

Initialement effrayée par la réaction possible de l'agent immobilier, elle a finalement parlé, se sentant soutenue par d'autres témoignages. La prétendue victime déclare n’avoir rien à gagner en tenant de tels propos. Apparemment, si elle a tenu à partager son expérience, “c’est pour qu’il n’y ait pas d’autres victimes."