A seulement 24 ans, Lucas Hernandez mène une carrière brillante de footballeur professionnel. Le jeune homme qui évolue au Bayern fait aussi partie de la liste des 26 joueurs sélectionnés par Didier Deschamps pour l’Euro 2020.

Mais le joueur a son lot de casseroles aux trousses. Le jeune homme a en effet été condamné en 2017 pour violences conjugales sur sa compagne Amelia Llorente. Dans la nuit du 2 au 3 février 2017, Lucas Hernandez, évoluant alors à l’Atletico Madrid, se trouvait chez un ami pour y passer la soirée.

Coups et griffures au sein du couple

Pour une raison inconnue, sa compagne l’avait appelé 19 fois et lui avait envoyé de très nombreux SMS lui demandant de rentrer. Le jeune homme avait alors interrompu sa soirée plus tôt que prévu pour rentrer à leur domicile situé à Las Rozas, dans la banlieue de Madrid.

 Lucas Hernandez (France) Défenseur @AFP
Lucas Hernandez (France) Défenseur @AFP

Les retrouvailles avaient été plus que tendues puisqu’une rixe avait éclaté entre eux. Les deux individus avaient échangé coups et griffures. A un point tel qu’Amelia Llorente avait été conduite vers un centre hospitalier pour y recevoir des soins. Lucas Hernandez, alcoolisé au moment des faits avait, lui, été conduit au commissariat avant d’être présenté à la justice.

Lucas Hernandez et Amelia Llorente toujours ensemble

Le couple avait été condamné à 31 jours de travaux d'intérêt général chacun et à six mois d'éloignement mutuel pour "violences domestiques". Mais le couple ne s’est jamais séparé suite à cela. En juin 2017, ils avaient été interpellés ensemble à l’aéroport de Madrid alors qu’ils revenaient de vacances.

Une peine d’un an de prison avait ensuite été requise à l’encontre de Lucas Hernandez en janvier 2018, toujours pour non-respect de la mesure d’éloignement.

Le joueur n’a finalement eu à affronter aucune conséquence judiciaire. Lui et Amelia Llorente ont ensuite accueilli leur premier enfant, un petit garçon, Martin, le 1er août 2018.

Depuis, le couple semble mener une relation plus apaisée. Il n’a plus jamais nécessité l’intervention de la police ou de la justice.