On connaît les deux séparément pour être de sacrés blagueurs. Ce n’est donc pas une surprise que José Garcia et Benoît Poelvoorde soient amis. Ensemble, ils ont déjà tourné plusieurs fois.

Mais c’est sans Benoît Poelvoorde que José Garcia a joué dans le film 30 jours max. Cette comédie potache rapporte l’histoire d’un jeune flic peureux à qui l’on annonce à tort qu’il ne lui reste plus que 30 jours à vivre. Comprenant qu’il doit s’illustrer rapidement pour laisser un souvenir héroïque, le policier se transforme en tête brûlée. Il fait tout pour arrêter un gros criminel, interprété par José Garcia.

Et à l’occasion de la campagne de promotion de ce long-métrage, José Garcia s’est prêté au traditionnel jeu des interviews.

Un binôme infernal

Lors d’un entretien accordé à Konbini, l’acteur s’est confié sur son tournage le plus éprouvant, le plus agréable… À la question de savoir comment c’était de tourner avec Benoît Poelvoorde, José Garcia a raconté une anecdote hilarante.

Il a affirmé que tourner ensemble était « super » pour eux mais « un peu plus difficile » pour les autres en raison des trop nombreux fous rires. Aimant tous les deux la fête, les deux acteurs ont conclu un pacte afin que la situation ne dégénère pas trop. Ainsi, quand l’un boit, l’autre doit rester sobre.

La cause du décès aurait été compliquée à expliquer

Problème, les deux hommes ont semble-t-il oublié ce pacte un jour et ont fini tous les deux ivres morts. Et la soirée a manqué très mal se terminer. José Garcia l’a raconté :

Je lui suis tombé dessus avec mes fesses, et en fait, comme il a un nez très aquilin et moi, j’avais un gros perche à l’époque, j’ai failli l’étouffer.

L’acteur a poursuivi en déclarant que Benoît Poelvoorde « aurait pu être mort » à cause de ça et que lui aurait « été super triste ». Malgré la gravité du sujet, José Garcia n’a pas pu s’empêcher de glousser en racontant cette anecdote tant l’incongruité de cet incident est comique.

En tout cas, si Benoît Poelvoorde était décédé ainsi, on pourrait dire sans avoir à en rougir que c’est une mort qui ne manque pas d’air.