Les élections présidentielles américaines approchent à grands pas ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est LE sujet qui anime toutes les discussions en ce moment, outre-Atlantique. Et pour cause, Donald Trump a probablement été le président le plus contesté de toute l'histoire américaine. En quatre ans, celui-ci a assurément accumulé les polémiques et les dérapages.

Et ce, tout particulièrement cette année, avec le Covid-19. Donald Trump a scandalisé une bonne partie de l'opinion publique avec ses décisions concernant l'épidémie du coronavirus. A l'approche des élections qui auront donc lieu le mardi 3 novembre prochain, de nombreuses voix s'élèvent pour éviter de voir Donald Trump à nouveau réélu.

Meghan Markle VS Donald Trump

La star américaine Meghan Markle fait partie de ces voix contestataires. Dans une vidéo publiée par le Times, la jolie brune et son mari, le prince Harry ont appelé les citoyens américains à s'inscrire sur les listes électorales et à voter lors des élections présidentielles. Sans citer directement Donald Trump, le prince Harry a, au passage, demandé au peuple américain de "rejeter les discours de haine, la désinformation et la négativité en ligne". Pour sa part, Meghan Markle a insisté pour rappeler à ses concitoyens américains qu'il s'agissait de l'élection "la plus importante de notre vie".

Il n'en fallait pas plus pour énerver Donald Trump ! Le président américain a participé ce mercredi 23 septembre à une conférence de presse au cours de laquelle une journaliste l'a interrogé sur les prises de position de Meghan & Harry. Donald Trump a alors balancé :

Je ne suis pas fan d'elle. Et je souhaite beaucoup de chance à Harry car il en aura besoin.

 

Meghan Markle, fervente opposante à Donald Trump

Cela fait déjà des années que l'actrice américaine se montre réfractaire au président américain. Et pour cause, en 2016, bien avant que Donald Trump ne soit élu, Meghan Markle avait eu des mots très durs à l'encontre de ce dernier. La maman du petit Archie clamait haut et fort que l'homme d'affaires américain était "misogyne" et "clivant".