Christophe est mort le 16 avril 2020 à l’hôpital de Brest. Quelques semaines plus tôt, il avait été admis en réanimation à l’hôpital Cochin (Paris) pour une détresse respiratoire liée à l’emphysème pulmonaire dont il souffrait. Le journal Le Parisien était alors convaincu que le chanteur était atteint du coronavirus. Après son décès, sa veuve, Véronique Bevilacqua a toujours refusé de s’exprimer sur le sujet. Mais dans un entretien accordé à RTL, la veuve de l’artiste a accepté de briser le silence :

Je n'ai jamais voulu cacher le Covid, c'est juste que je ne le savais pas. Lorsqu'il est arrivé à l'hôpital, c'était pour sa crise d'emphysème qui était assez importante. C'est ça qui a été un petit peu pénible, parce qu'il avait les poumons très attaqués.

Quelques jours après la mort de Christophe, un proche des Bevilacqua avait assuré à Paris Match que Véronique avait volontairement dissimulé le mal dont il souffrait :

Elle s'est accrochée à ce sujet. Elle ne veut pas que Christophe devienne la première star française fauchée par ce virus.

Le magazine avait également affirmé que l’interprète du tube Aline avait été emporté par une "forme sévère de Covid-19 sur un emphysème diffus".

Bientôt une grande vente aux enchères

Alors que les fans du chanteur sont inconsolables, Véronique Bevilacqua, dont Christophe s’était séparé en 1996, vient d’annoncer une grande nouvelle. Elle a décidé d’organiser une grande vente aux enchères des objets du père de sa fille, Lucie :

On a été tous les deux des collectionneurs, de choses différentes. Même si tous les objets américains nous ont branchés tous les deux. Moi j'ai ma collection personnelle de juke-boxes, de postes. Je suis blindée chez moi donc malheureusement je ne peux rien garder. Ma fille c'est pareil. Donc on va faire une vente aux enchères.

A-t-elle expliqué.

Une initiative qui devrait chagriner Romain Vidal, le fils que l’artiste a eu avec Michèle Torr. Privé de cérémonie d’enterrement par Véronique Bevilacqua, le quinquagénaire n’a jamais caché son désir de posséder quelques objets ayant appartenu à son père.