Quelques jours après l'annonce de la disparition de Charlotte Valandrey, Yann Moix s'emparait de sa plume afin de rendre hommage à la comédienne. C'est dans les colonnes de Paris Match que l'écrivain saluait la mémoire de celle qu'il considérait comme une soeur... et révélait au passage leur courte idylle.

Des déclarations démenties par les proches de la comédienne

Des confidences qui n'ont pas manqué de faire réagir les proches de la regrettée comédienne. C'est via un communiqué publié sur les réseaux sociaux qu'ils ont affirmé que "personne parmi les plus proches n’a connaissance de cette complicité".

Et de préciser :

Ce que nous connaissons, c’est un bref rapprochement sans histoire d’amour quand ils étaient jeunes mais surtout pas grand-chose depuis.

 Charlotte Valandrey @Sipa
Charlotte Valandrey @Sipa

D'après les proches de Charlotte Valandrey, l'ancien chroniqueur de Laurent Ruquier n'aurait pas répondu à ses appels quand celle-ci avait besoin de lui.

Yann Moix persiste et signe

Si la famille de la comédienne a depuis supprimé son démenti, l'écrivain n'a pas hésité à y répondre. Et c'est une nouvelle fois dans les colonnes de Paris Match que l'écrivain s'est exprimé. "Je ne retirerai - et retirerais - pas un mot, une ligne, un point-virgule, une virgule de cet hommage", déclare Yann Moix.

Et d'expliquer :

La complicité que j'ai eue avec elle était d'autant plus profonde, inestimable et précieuse qu'elle a toujours été clandestine. On avait un rapport que personne ne peut comprendre et que personne ne peut nous enlever.

 Charlotte Valandrey @Sipa
Yann Moix @DR

Vous l'aurez compris, Yann Moix a réaffirmé ses propos. Ainsi, il s'est confié un peu plus sur sa relation avec la comédienne :

Elle s'est énormément confiée, je l'ai énormément écoutée. On a énormément parlé, on a énormément ri, on s'est énormément engueulé. Il y a eu des périodes où on s'est perdu de vue, on s'est toujours retrouvés. J'ai fait pour Charlotte des choses que mes amis les plus proches ne savent pas, n'ont pas à savoir et ne sauront jamais.

Et de conclure :

Je ne m'excuserais pas pour mon article. Que cela plaise ou non aux parents dont la douleur est infiniment respectable. Je leur demande aussi de respecter la mienne. Chacun pleure sa Charlotte. Eux pleurent une Charlotte qu'ils ont mis au monde, moi je pleure une Charlotte qui m'a appris à devenir un homme...