Journaliste reconnu au sein de la profession, Christophe Carrière a également été pendant un temps chroniqueur dans Touche pas à mon poste. Mais malgré un bref retour à la fin de l'année 2019, il a fini par céder sa place dans l'émission.

 Christophe Carrière @NonStopPeople
Christophe Carrière @NonStopPeople

"On ne va pas dire que c'est la galère financière"

Invité de l'émission L'instant de luxe sur Non Stop People, Christophe Carrière a évoqué sa situation professionnelle. Ainsi, il a confié à Jordan De Luxe être au chômage. En effet, absent désormais de Touche pas à mon poste, il a également quitté L'Express il y a un an. Mais il refuse de s'apitoyer sur son sort. "On ne va pas dire que c'est la galère financière, ce serait indécent de dire ça par rapport à d'autres", lâche-t-il.

Désormais, l'ancien chroniqueur de Cyril Hanouna vit de ses économies, mais pas seulement. Il confie également être inscrit à Pôle emploi. Loin de se plaindre, Christophe Carrière préfère voir le verre à moitié plein et confie que cette situation lui permet de travailler sur d'autres projets, comme scénariste ou encore auteur.

Christophe Carrière lève le voile sur ses comptes

Vous l'aurez compris, le journaliste est loin de se tourner les pouces, d'autant plus qu'il continue à écrire pour certains magazines. De quoi lui permettre d'arrondir ses fins de mois. Et pour cause, s'il a conscience que cette confidence pourrait en choquer plus d'un, il avoue avoir besoin de minimum 6000 euros par mois pour vivre. En effet, Christophe Carrière explique :

Mes comptes sont simples. Pour vivre entre mes filles, toute la logistique, l'appartement, tout à payer parce que je suis locataire et pas propriétaire, il me faut 6000 euros minimum. Il y a des crédits, il y a des impôts, il y a des charges (...)

Et de préciser :

Non, je ne gagne pas 6000 euros par mois en ce moment.

Voilà qui a le mérite d'être clair.

Vous l'aurez compris, Christophe Carrière n'a rien perdu de son franc-parler... et de sa bonne humeur. Pas question pour lui de se plaindre. Non, le journaliste en est persuadé, les beaux jours vont revenir !