Cela faisait longtemps qu’on l’attendait et manifestement, ce n’est pas pour rien. Dès le vendredi 17 septembre, Danse avec les Stars va revenir sur nos écrans avec une saison 11 qui promet de dépoter.

Des candidats tous plus célèbres les uns que les autres, Camille Combal seul à l’animation étant donné que Karine Ferri s’occupera de l’after DALS.

Le jury est également quasiment entièrement renouvelé. On y retrouvera Denitsa Ikonomova, championne des titres remportés sur le parquet de l’émission, François, Alu, danseur étoile de l’Opéra de Paris, Jean-Paul Gaultier… Le seul à demeurer des saisons précédentes est Chris Marques. Et justement, celui-ci s’est exprimé sur les nouvelles règles qui vont être mises en place.

"Si vous êtes nul, vous ne passerez pas !"

Pour vous donner un exemple, les célèbres pancartes affichant les notes vont disparaître pour un système plus moderne. Un buzzer sera également mis à la disposition des jurés. La première semaine, il permettra de propulser un candidat directement en 3ème semaine. Sur les primes suivants, il sera un outil pour sanctionner les mauvaises prestations.

À Télé-Loisirs, Chris Marques en a dit plus sur ces nouvelles règles :

Cette année, la mécanique change et nous offre une position bien plus importante en terme de pouvoir de décision. Ce qui prime c’est la performance et le travail. Donc même si vous êtes incroyablement populaire, si vous êtes nul, vous ne passerez pas ! Mécaniquement, à certains moments, la décision finale sera nôtre. Le public pourra comme toujours voter pour sauver ses couples préférés. Mais arrivé à un certain stade, ça sera un jugement professionnel qui décidera qui reste et qui rentrera à la maison…

Chris Marques satisfait des nouvelles règles

Et si le règlement a été changé, c’est qu’une inégalité a été prouvée sur les dernières saisons entre les candidats possédant une grosse communauté de fans et les autres :

Aujourd’hui, arriver avec une grosse communauté de fans était presque la garantie d’aller loin dans la compétition. Mais c’est une compétition de danse, pas de popularité. Donc il nous fallait rééquilibrer les choses. Les réseaux sociaux ont créé des inégalités et peuvent désormais fausser les résultats. Les communautés ultra engagées sont une réalité donc pour que chacun puisse avoir sa chance, l’émission a eu besoin d’évoluer. Ces communautés sont très importantes pour les artistes, mais nous sommes là pour souligner un parcours, une évolution, des performances qui deviennent de plus en plus folles. C’est le maître-mot cette année. En finale, on veut des performances à couper le souffle et la seule façon d’y arriver, c’est de donner aux juges qui ont ces critères techniques et qualitatifs plus poussés.