Les téléspectateurs étaient dans tous leurs états vendredi 23 octobre 2020 devant l’épisode de Koh-Lanta. Durant celui-ci, Bertrand-Kamal est parti de l’aventure suite à une épreuve éliminatoire. Cela a été un véritable choc pour les internautes qui ne souhaitaient pas le voir s’en aller aussi tôt dans le jeu.

L’émotion était d’autant plus forte étant donné que Bertrand-Kamal, candidat favori des téléspectateurs et très apprécié sur le camp, est décédé après son aventure, emporté par un cancer du pancréas.

Un hommage émouvant en fin d’épisode

Suite aux éliminations qui ont entraîné le départ de Joaquina, Denis Brogniart s’est entretenu avec Samir, le père du regretté Bertrand-Kamal. Les deux hommes ont échangé sur le candidat. Denis Brogniart lui alors demandé s’il avait été surpris de l’émotion suscitée par le départ de son fils sur le camp.

Je ne suis pas étonné, connaissant mon fils et l’amour qu’il donnait aux gens. Que les gens lui rendent cet amour-là, c’est très touchant. Ça fait chaud au cœur.

Samir confirme que Bertrand-Kamal n’a joué aucun jeu et est resté tel qu’il est durant l’aventure. Il a également tenu à remercier la production.

C’était le rêve de sa vie et il l’a réalisé. Malheureusement on connait la suite mais il voulait que cette émission continue pour lui. Je vous dis merci de le faire continuer car c’est grâce à ces épisodes que j’ai l’impression que mon fils est encore avec moi.

 

 Bertrand-Kamal
Bertrand-Kamal

Un papa fier de son enfant

Samir a bien voulu en dire plus et a partagé ce que son enfant lui a dit lorsqu’il est revenu à Dijon après Koh-Lanta.

Il me disait juste une chose : « Papa, tu vas être fier de moi ». Je suis plus que fier. On ne peut qu’être fier d’un garçon comme ça.

Celui qui appelle son enfant, son « fils d’amour » affirme avoir été surpris par son courage face à la maladie. Malheureusement, il déclare que ce dernier s’est battu contre un « dragon » et qu’il a alors perdu cette bataille.

Denis Brogniart a clôturé cet hommage en affirmant alors « on l’aime Bertrand-Kamal », appuyant sur l’utilisation du présent car l’amour est bel et bien toujours là.