Pierre-Jean Chalençon ne décolère pas. Alors qu'il assure actuellement la promotion de son titre Donne-moi ton Q… R code, le quinquagénaire n'a pas hésité à critiquer une nouvelle fois Affaire conclue. Très remonté contre l'émission, celui qui aurait organisé des dîners clandestins au Palais Vivienne a dénoncé ses conditions de travail et son salaire alors qu'il collaborait avec le programme de France 2. Amer, le collectionneur s'est souvenu d'inégalités de traitements, notamment avec Sophie Davant.

Traité comme quantité négligeable

Ce lundi 14 mars 2022, Pierre-Jean Chalençon a fait sensation sur les ondes de la radio Sud Info. Après avoir affirmé qu'il avait été "traité comme de la m****", le quinquagénaire assure que les acheteurs de l'émission étaient "payés au lance-pierre" alors qu'ils devaient "dépenser au départ". Pire, le collectionneur précise que Sophie Davant, la présentatrice du programme, arrivait en "moto taxi" alors que ses collègues n'étaient pas défrayés pour leurs déplacements. Enfin, la loge dans laquelle se reposaient les protagonistes d'Affaire Conclue n'en était tout simplement pas une :

Vous savez ce qu'était notre loge pour les acheteurs ? C’était les toilettes où allait Sophie Davant.

A-t-il expliqué, avant de dénoncer la présence de "rats et de souris" dans la pièce.

 Pierre-Jean Chalençon @Instagram
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Un départ volontaire

Alors que certaines rumeurs affirmaient que Pierre-Jean Chalençon avait été évincé de l'émission, la réalité serait tout autre. Au micro du média belge, le collectionneur reconnaît qu'il se "barbait au bout de quatre ans". Incapable de collaborer avec les "caricatures d'acheteurs" recrutés par la chaîne, il regrette le manque de professionnalisme de certains de ses confrères.

 Pierre-Jean Chalençon @Instagram
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Des dettes colossales

Très endetté par l'achat du palais Vivienne, Pierre-Jean Chalençon doit rembourser 30 à 40 000 euros par mois. C'est en tout cas ce qu'il a récemment confié au Figaro. Afin de rembourser ses créanciers, le quinquagénaire a été contraint de se séparer de précieux objets issus de sa collection. Un choix douloureux, mais inévitable. Durant la crise sanitaire, l'acheteur n'a pas reçu de subventions pour ce lieu chargé d'histoire.

 

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