Après plus de deux années de lutte contre un cancer du pancréas, Gérard Kadoche est décédé à l’âge de 61 ans. L’homme d’affaires et producteur partageait la vie de Véronika Loubry, avec laquelle il a filé le grand amour jusqu’à ses derniers instants.

En effet, depuis 2016, Gérard Kadoche et Véronika Loubry formaient une heureuse famille recomposée avec leurs enfants respectifs. L’animatrice phare des années 90 est la maman de Thylane, née en 2001, et Ayrton (2007), fruits de ses amours passées avec l’ancien footballeur Patrick Blondeau.

Depuis l’annonce de la disparition de Gérard Kadoche, de nombreux messages de soutien ont afflué sur les réseaux sociaux.

Un amour infini

Selon plusieurs sources, quelques heures seulement avant son décès, Gérard Kadoche aurait épousé Veronika Loubry dans la plus stricte intimité. Un dernier acte fort et symbolique, qui témoignerait de leur volonté de sceller leur amour jusqu’au bout. Après trois jours de silence, Véronika Loubry a fait son retour sur Instagram. Elle a fait part de sa peine, déclarant que son "monde s'était effondré". Inconsolable, elle ne cesse depuis de partager des vidéos de son couple au temps du bonheur.

Malgré ce terrible coup du sort, Véronika Loubry a évoqué sa volonté d’aller de l’avant. Ce mardi 16 décembre, elle a de nouveau partagé une série de quelques vidéos souvenirs très touchantes. "C'est tellement dur", s'est-elle contenté de légender.

Dans l'une de ses stories, elle s'est adressée à son amour disparu, lui promettant qu'elle n'allait pas flancher :

Je vais essayer de rester debout par respect du combat que tu as mené.

Véronika Loubry a également partagé un dessin réalisé par un internaute. Il s'agit de l'illustration d'une photo qu'elle avait mise en ligne en juillet 2023, sur laquelle on voit les amoureux se jeter à l'eau dans une piscine, en échangeant un baiser. 

Si tu tombes, je tombe, alors ne tombe pas.

Avait-elle légendé.

C’est le 11 décembre 2025 que Véronika Loubry a annoncé la mort de Gérard Kadoche, en légende d’un cliché en noir et blanc publié sur Instagram. "L’amour de ma vie s’en est allé, après deux ans et 9 mois d’un combat que personne ne devrait affronter. Il est parti cette nuit laissant derrière lui un silence immense, mais aussi la trace indélébile de son courage", a-t-elle commencé.

Pendant son combat mon guerrier a tout donné sa force, sa dignité, son humour même quand la douleur gagnait du terrain. Il a tenu, encore et encore, par amour, par instinct, par volonté. Moi je le croyais invincible mon guerrier il a décidé de baisser les armes et ma vie ne sera plus jamais la même (…) Je garderai en moi sa lumière, son courage, sa façon unique d’être le seul à jamais dans mon cœur.

Veronika Loubry aux côtés de son compagnon jusqu’au bout

Gérard Kadoche était le père de deux filles, Léa et Allison, nées d'une précédente relation et qui se sont toujours très bien entendues avec Véronika Loubry. D’ailleurs, l’aînée des deux sœurs n’avait récemment pas tari d’éloges à propos de sa belle-mère, envers qui elle s’est montrée extrêmement reconnaissante. "L’amour sauve. Mon père lutte contre un cancer depuis plus de deux ans. En tant que DJ, ma vie est intense, toujours en mouvement, nuits, voyages… Parfois, il est difficile d’être présent chaque jour", écrivait la jeune femme en août dernier, sur son compte Instagram.

Mais je sais une chose avec certitude : il n’est pas seul. Il y a cette femme, Véronika Loubry, ma belle-mère. Sa force. Son calme. Son ancre. Elle a été là à chaque étape. Le soutenant. L’aimant. Elle a fait plus que ce que l’on peut imaginer. Elle lui a sauvé la vie. Je lui suis profondément, infiniment reconnaissante. Merci d’être sa lumière quand je ne pouvais pas l’être.

Un message relayé par l’intéressée, qui, auparavant, avait livré plus de détails sur le long et douloureux parcours de son compagnon dans sa lutte contre la maladie.

Chimio numéro 42. Cela fait maintenant deux ans et demi que tu vis au rythme de la chimiothérapie. Deux ans et demi de combats, de rendez-vous médicaux, d’espoirs et parfois de grosses déceptions. Ce fameux ascenseur émotionnel. Nous connaissons trop bien l’odeur de l’hôpital, les lumières blanches de cette salle de traitement, le fameux silence pesant des couloirs....

Pouvait-on lire.