À 33 ans, Agathe Auproux attend son premier enfant. L’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon Poste a trouvé l’amour dans les bras du rugbyman Maxence Picardet, le père de son fils à naître.

Très suivie sur les réseaux sociaux, celle qui est à son neuvième mois de grossesse se confie souvent à ses abonnés. C’est aussi à travers son podcast Oui, mais qu’elle aime évoquer plusieurs sujets avec sa communauté. Dans son dernier numéro en date, c’est avec son mari qu’elle a pu revenir sur l’éducation qu’ils ont tous deux reçue, et celle qu’ils comptent donner à leur petit garçon.

Il y a un domaine sur lequel Agathe Auproux prendra la main, comme elle a pu le confier.

Agathe Auproux sera intransigeante sur les études de son enfant

Ancienne élève studieuse, Agathe Auproux compte offrir un cadre strict pour l’éducation de son premier enfant.

« Tout ce qui va toucher à la scolarité, à l'apprentissage, ça va être mon domaine » a-t-elle confié sans détour. « Ça va être très important pour moi ».

Celle qui n’a jamais caché accorder une grande importance à une écriture sans faute prend notamment sa mère en exemple.

« Elle était professeure de français, elle a fait toute sa carrière dans l'éducation nationale donc forcément, elle avait envie qu'on s'épanouisse à l'école et qu'on réussisse » a-t-elle déclaré.

Agathe Auproux le dit sans tergiverser : « Moi, là-dessus, je vais être intransigeante et poser un cadre strict ».

Sans pour autant vouloir qu’il soit le premier de la classe, Agathe Auproux souhaite que son enfant « s’applique » et puisse avoir « un niveau de langage correct ».

Exposeront-ils leur fils sur les réseaux sociaux ?

Celle qui ne pourra pas accoucher par voie basse en raison de complications médicales s’est questionnée avec son mari sur le fait d’exposer ou non leur enfant sur les réseaux sociaux.

« Je n’ai pas encore tranché avec moi-même là-dessus. (...) J’ai déjà été sollicitée par des grandes marques qui aimeraient faire des campagnes incluant notre fils. (...) On est obligé de se renseigner sur toutes les implications légales et juridiques autour de l’exposition d’un très jeune bébé. J’ai découvert que c’était encadré » a-t-elle avoué.

Elle a précisé qu’il était possible pour elle de faire ces campagnes avec son fils, sans que son visage ne soit montré à la caméra.

« Cacher mon quotidien c’est un peu compliqué » a-t-elle confié en raison de ses activités, mais elle a ajouté : « Présenter mon tout petit bébé en mettant une photo de sa tête sur Instagram, c’est non, mais au fur et à mesure du temps, l’inclure dans ma vie sans calcul, sans exploitation, j’espère que ça se fera de façon naturelle ».