Sarah Fraisou est une triste habituée des déceptions amoureuses. L’échec de son quatrième mariage a été un véritable coup dur pour la jeune femme, et une raison de plus pour ses haters de l’attaquer. Si elle va désormais mieux, cela n’était pas le cas il y a quelques semaines de ça encore. D’ailleurs, elle avait effrayé la Toile après un message terrifiant laissant présager le pire, elle a fini par remonter la pente et se confie désormais sans détour à sa communauté.

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Sarah Fraisou @ Instagram

Sarah Fraisou explique son absence de Snapchat

C’est via sa story Snapchat que Sarah Fraisou a pris la parole sur la raison de son absence remarquée sur le réseau social.

Je ne snape pas parce que ça me fait chier de snaper pour que les gens, au final, détournent les choses. Ça ne m’intéresse pas. (…) Je protège les gens qui sont avec moi. Y en a ils n’aiment pas les réseaux sociaux.

Elle a ajouté que les réseaux sociaux avaient pris beaucoup de place, notamment après son divorce et qu’elle a dû s’en éloigner.

Depuis mon divorce, ça m’avait beaucoup mangé le cerveau les réseaux sociaux. Je prêtais beaucoup attention à ce qu’il s’y disait.  A un moment donné, un matin je me suis réveillée et je me suis dit, la Sarah d’avant ne se sentait pas forcée de faire quelque chose. La tournure qu’ont pris les réseaux sociaux dans ma vie c’est que je ne snapais plus pour le kiffe, je snapais parce que je devais le faire. Aujourd’hui j’ai décidé tout simplement de revenir en arrière et de faire ce que j’ai envie, que ça plaise ou pas.

Sarah Fraisou reprend petit à petit, elle qui avait besoin d’être « une personne normale » après tout ce qui a pu se passer.

Une femme qui craque en silence

Sarah Fraisou a confié qu’il lui arrivait de craquer sans que sa communauté ne s’en aperçoive.

C’est vrai qu’il y a des matins où, quand vous voyez sur snap vous vous dites « ouais elle est forte et tout », mais comme je vous l’ai dit, je ne montre plus trop tout sur snap. Des fois je pleure dans mon coin, parce qu’il y a des matins je ne me sens pas bien. Je me pose des questions sur plein de trucs. Mais c’est normal, je suis obligée de passer par là pour remonter la pente.

Elle a également tenu à répondre à ceux qui ont pu la reprendre lorsqu’ils avaient l’impression qu’elle sombrait.

Vous ne pouvez pas savoir comment je suis quand j’ai une peine de cœur. (…) Vous apprenez encore à me découvrir. Des fois j’ai ce pétage de câble ou j’ai besoin de sortir, de m’habiller, de voir du monde pour ne pas laisser mon cerveau réfléchir. Une fois que je suis apaisée, on revient.

a-t-elle déclaré avant d’ajouter :

J’ai craqué plusieurs fois durant les quatre mois qui viennent de passer. (…) Il y a des soirs, je sortais en soirée, je rentrais et je me mettais à pleurer ou à crier dans ma chambre et ça me défoulait.

Elle se veut rassurante, affirmant savoir « quand dire stop à (sa) folie ».