Il est arrivé il y a quelques jour seulement comme candidat dans les Princes de l’amour mais les polémiques qui l’entourent vont déjà bon train. Pour Zoubir, un jeune policier arrivé pour conquérir le coeur de la princesse Sara, tout va bien dans l’émission puisque la jeune femme semble sensible à son charme.

Mais dans la réalité, sa participation à l’émission de télé-réalité dérange. En tout cas, elle dérange la hiérarchie du jeune policier qui a ouvert une enquête administrative à l’encontre du jeune homme pour "manquements au devoir exigé par sa fonction". Celui-ci n’a en effet pas prévenu ses supérieurs qu’il participait aux Princes de l’amour.

Zoubir reconnaît les faits qui lui sont reprochés

Il se serait simplement mis en arrêt de travail pour le temps du tournage, selon des informations obtenues par Le Parisien. Le fait que Zoubir ait également un compte Tik Tok où il se vante également des avantages à être policier, surtout en cette période de Covid, lui a également valu une autre enquête administrative. Il y affirme ainsi "choper des snaps et numéros sur les contrôles Covid".

Face à cette polémique, le jeune homme a tenu à s’expliquer sur le plateau de TPMP le 19 janvier 2021. Il y a reconnu avoir effectué les actes qu’on lui reproche mais les a justifiés par une « rupture » avec son métier :

Ça faisait déjà un petit moment que j'avais des soucis là-bas. Je n'arrivais plus à me reconnaître. Au moment où je suis parti sur les Princes, j'étais déjà en arrêt.

Pas de possibilité de quitter son travail pour le moment

Et quand on lui demande de préciser les soucis rencontrés dans l’exercice de sa fonction, Zoubir détaille sans se faire prier :

Je me suis heurté à pas mal de trucs, au manque de reconnaissance, à certains comportements xénophobes. Il y a pas mal de comportements très fermés d'esprit qui m'ont gêné.

StarMag.com

Mais le jeune homme a dit ne pas pouvoir quitter son travail facilement malgré la distance qu’il ressent vis-à-vis de celui-ci :

Vous savez comment ça marche, il faut être statutaire pour démissionner sans payer. Si je pars maintenant, je paye 12 000 euros. Je vais être honnête avec vous, je roule pas sur l'or, je les ai pas les 12 000 euros.

Malgré cela, Zoubir pense tout de même à une reconversion et ce, dans le domaine de l’audiovisuel.