Anaïs Camizuli confiait il y a quelques jours, sur Snapchat, qu'elle était victime de harcèlement. Après s'être absentée de la plateforme, la maman de Kessi est revenue sur le réseau social et a expliqué son calvaire.

J'ai à faire à une folle. Une femme qui est devenue folle, avec qui j'ai des problèmes depuis des années. La police l'a déjà arrêtée. La semaine dernière, elle a encore recommencé à menacer ma fille et ma filleule sous un faux compte. Le dossier est entre les mains de la police qui, j'espère, va faire son travail et vite ! J'ai même écrit au procureur. (...) Je suis allée déposer plainte en bonne citoyenne. Je comprends certaines personnes qui partent à l'étranger pour être en sécurité, car on ne l'est pas en France. La police attend qu'il se passe quelque chose de grave pour agir.

"La police est sur le dossier"

Ce 12 mars 2020, Anaïs Camizuli a pris d'assaut son compte Instagram pour parler de ce qui se passe dans sa vie actuellement. Très touchée par cette affaire, la jeune femme a expliqué que sa fille aussi semble souffrir de la situation.

Nuit un petit peu compliquée, Kessi a voulu dormir contre moi, elle n'a pas voulu me lâcher. On a essayé de la mettre dans son lit, elle pleurait, pourtant elle dormait très bien. Je pense que la peur de l'abandon commence puisqu'elle rentre dans son huitième mois. Surtout, je pense qu'en ce moment elle sent que je ne suis pas très bien, vu l'histoire comme vous savez, et que ma fille elle ressent tout, comme tous les bébés. Donc du coup, c'est vrai que j'ai l'impression qu'elle veut me protéger, qu'elle veut être tout le temps collée à moi. J'essaye de ne pas en parler devant elle et tout ça, mais bon, après c'est plus fort que moi. Du coup voilà, en ce moment c'est un peu compliqué.

Et d'ajouter :

La police est sur le dossier donc je suis contente, mon avocat aussi. Il y a eu plein de nouveaux éléments en ma faveur, donc c'est bien aussi. Mais voilà, j'espère que la justice va prendre cette affaire au sérieux. Pour le moment je ne peux pas vous en dire plus parce que je n'ai pas le droit Mais si jamais cette personne-là s'en sort encore une fois, croyez moi, je vais faire un bordel.