Le mariage du prince Harry avec Meghan Markle lui a coûté sa bonne entente avec les siens. Seulement quelques mois après la naissance de leur petit Archie, les époux rebelles ont décidé de renoncer à leurs fonctions royales et quitté le Royaume-Uni pour s’installer aux États-Unis. Ils ont par la suite multiplié les déclarations à charge contre les Windsor. Ils ont d'abord déclenché les hostilités avec leur interview choc accordée à Oprah Winfrey, en mars 2021. Ensuite, la publication des mémoires du petit frère du prince William, intitulées Le Suppléant, n'a rien arrangé. Un ouvrage dans lequel il ne mâche pas ses mots à propos des membres de sa famille.

Maintenant qu’ils ne sont plus entretenus par la couronne britannique, le prince Harry et Meghan Markle multiplient les projets pour renflouer les caisses afin de maintenir leur train de vie luxueux en Californie.

Ils ont ainsi signé de juteux contrats avec plusieurs plateformes de streaming, notamment Spotify, pour la coquette somme de 25 millions de dollars. En fervente féministe, Meghan Markle se devait de mettre à profit sa notoriété pour "mettre en lumière la parole de femmes célèbres". Mais visiblement, l’ancienne actrice de Suits : avocats sur mesure n’a pas honoré son engagement.

Un couple "d’arnaqueurs" ?

C’est du moins ce qu’a affirmé l’un des responsables de Spotify, qui ne s’est pas montré tendre envers les parents d’Archie et Lilibet. Car au bout de trois ans de collaboration, seulement douze épisodes ont été mis en ligne sur la chaîne de podcasts Archetypes. Un faible contenu qui n’a, bien évidemment, pas atteint les objectifs visés par le géant suédois du streaming musical, entraînant cette rupture du contrat.

Bill Simmons, chargé de l’innovation des podcasts chez Spotify, n’a donc pas hésité à dénoncer publiquement le manque de professionnalisme du prince Harry et de son épouse, allant jusqu'à les qualifier "d’arnaqueurs". Une nouvelle polémique pour le couple rebelle, dont l'attitude jugée plutôt désinvolte et opportuniste avait déjà été pointée du doigt par l’animateur Tucker Carlson :

Ces deux escrocs ont un contrat de 25 millions de dollars avec Spotify pour pratiquement aucun travail. J’aurais aimé être impliqué dans la négociation de leur départ. The Fucking Grifters (Les p**ains d'escrocs, NDLR), c'est plutôt ça le podcast que nous aurions dû lancer avec eux.

Aurait lâché l’éditorialiste américain.

Tucker Carlson a également précisé avoir tiré des leçons de cette mauvaise expérience et assuré que l’on ne l’y reprendrait plus. Il en a donc profité pour alerter les futurs créateurs de contenus qui souhaiteraient collaborer à l'avenir avec son employeur : "Nous allons être très scrupuleux dans le choix de nos futurs investissements. Et ceux qui ne sont pas performants, évidemment, nous ne les renouvellerons pas".

Le prince Harry et Meghan Markle rebondissent

Alors qu’il se murmure que les époux princiers seraient au bord de la rupture, le divorce entre eux et Spotify est quant à lui bel et bien définitivement consommé. Mais pas de quoi inquiéter les intéressés, qui auraient déjà été sollicités par d’autres plateformes pour continuer à s'exprimer sur Archewell Audio. D’après une source qui s’est confiée à Variety, les deux ex-membres de Fab Four avaient pressenti la fin de leur contrat et avaient pris soin d’assurer leurs arrières.

Contactés par la presse, ni Spotify, ni la société de production fondée par le couple ont daigné répondre aux questions des journalistes. En avril dernier, l'émission Envoyé Spécial révélait qu'une grosse partie de l'argent récolté grâce à Archewell, la fondation créée par les jeunes mariés pour soutenir les causes qui leur tiennent à cœur, n'aurait jamais été redistribué.

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