Hawa C. 
Moins d’un an an après son couronnement, qui s’est déroulé le 6 mai 2023 à l’abbaye de Westminster, le roi Charles III a vu sa santé sérieusement décliner. Le 27 janvier 2024, le père des princes William et Harry a été hospitalisé à la London Clinic, pour une opération de la prostate. Quelques jours plus tard, le 5 février 2024, Buckingham Palace annonçait via un communiqué que Charles III est atteint d’une "forme de cancer", précisant toutefois qu’il ne s’agit pas de celui de la prostate.
Depuis, l’inquiétude règne autour de l’état de santé du roi et chacune de ses apparitions publiques est scrutée à la loupe. Si le fils d'Elizabeth II fait bonne figure et s’affiche toujours souriant, en coulisses, les rumeurs alarmistes vont bon train. Selon les bruits de couloirs, le jeune monarque de 75 ans serait bien plus malade que ne veulent le laisser croire la Cour, qui envisagerait déjà le pire.
L’organisation des funérailles de Charles III en cours ?
D’après les informations du Daily Beast, l’opération "Menai Bridge", nom d’un pont suspendu qui relie l’île d’Anglesey au Pays de Galles, en écho à son ancien titre de prince de Galles, et surtout, celui du plan qui prévoit les obsèques de Charles III, serait actuellement à l’étude :
S’adressant aux amis du roi ces dernières semaines au sujet de son état de santé, la réponse la plus courante est une baisse de la voix d'une demi-octave environ, suivie d'une déclaration sombre et longue : 'Ce n'est pas bon".
Peut-on lire dans les colonnes du tabloïd.
Cependant, la monarchie n’a pour le moment fait aucun commentaire sur l’évolution de la santé du souverain, apparemment trop occupée à préparer l’organisation des funérailles de Charles III, qui ont débuté dès son accession au trône. Mais ces derniers jours, "les plans ont été dépoussiérés" et seraient "en cours de mise à jour". La cérémonie funèbre devrait être inspirée du London Bridge, l’opération déployée à la mort d’Elizabeth II, survenue le 8 septembre 2022.
Bien sûr, ils examinent tous les aspects du Pont Menai. Les funérailles de la reine se sont déroulées comme sur des roulettes et ont placé la barre haute. Ce n’est pas une question d’émotion, c’est un travail, pris très au sérieux.
A informé le journal britannique.
Une cérémonie bien préparée
Lorsque Charles III rejoindra l’autre monde, son fils aîné, le prince William, lui succédera sur le trône et Kate Middleton, qui se bat également contre un cancer, sera nommée reine consort. Dans la foulée, plusieurs personnes du gouvernement britannique seront informées de la triste nouvelle dans un ordre bien précis. D’abord, les membres des Windsor, puis le Premier ministre, le secrétaire du cabinet, ainsi que les hauts fonctionnaires te le Bureau des Conseil privé du roi, a expliqué le média Page Six.
Le Premier ministre sera en charge d’annoncer la triste nouvelle aux sujets lors d’une allocution, tandis que le ministère de La Défense organisera des salves d’armes à feu, avant qu’une minute de silence ne soit observée dans tout le royaume. Le chef du gouvernement rencontrera ensuite le prince William, qui fera son premier discours à la nation en tant que futur roi.
Le cercueil de Charles III sera exposé un temps dans la salle du trône du palais de Buckingham, à Westminster Hall, puis inhumé dans le caveau royal de la chapelle commémorative du château de WIndsor, où repose son grand-père, le roi George VI.
Soucieux de profiter du temps qui lui reste, Charles III s'est montré prêt à se réconcilier avec Harry, son fils cadet, qui a déclaré la guerre à sa famille après son mariage avec Meghan Markle.
Si cette dernière n'aurait pas l'intention de remettre les pieds au Royaume-Uni, il se murmure que son mari regretterait ses sorties de route et voudrait renouer avec les siens.