Les accusations de racisme qui pèsent sur la Couronne continue de faire couler beaucoup d’encre. Pour rappel, Meghan Markle révélait en avoir été victime au sein de la famille royale britannique auprès d’Oprah Winfrey. Même son fils n’en a pas été épargné. Ainsi, des personnes proches de la Firme se seraient en effet interrogés sur la couleur de peau de son premier enfant, peu de temps avant sa naissance.

Début décembre dernier, la polémique a été relancée par le biographe Omid Scobie. L’identité d’une des personnes concernées aurait été dévoilée par erreur dans la traduction néerlandaise de son livre Fin de règne. Selon les informations relayées par The Sun, la demi-sœur de Samantha Markle pourrait être obligée de tout révéler devant le tribunal.

Un procès qui risque de faire grand bruit

Tout laisse à penser que Meghan Markle garde de souvenirs amers de sa vie passée avec la famille royale. C’est l’une des raisons pour lesquelles elle avait pris la décision, avec le prince Harry, de quitter la Couronne. Depuis, les parents d’Archie ont réglé leurs comptes avec les membres seniors à coups d’interviews fracassantes, de documentaire et de livre-confession.  

Outre les membres de la monarchie britannique, l’ancienne actrice de 42 ans entretient aussi une relation conflictuelle avec sa famille. La fille de Doria Ragland ne s’entend en effet pas avec son père Thomas et sa demi-sœur Samantha. Cette dernière a d’ailleurs décidé de la poursuivre pour diffamation.

Pour rappel, la femme du prince Harry confiait à Oprah Winfrey qu’elle avait "grandi comme une enfant unique". C’est dans le cadre de ce procès que l’exilée de Montecito, en Californie, pourrait être contrainte de révéler l’identité des personnes ayant tenu des propos jugés racistes au sujet de son fils.

StarMag.com
Meghan Markle @ DR

Meghan Markle dans la tourmente

Il se murmure que la mère d’Archie n’aurait plus d’échappatoire. Si la quadragénaire est amenée à témoigner sur les accusations de racisme au sein de la famille royale, elle se retrouverait dans une position délicate. L’intéressée avait en effet assuré à une source proche qu’elle n’avait "jamais eu l’intention d’identifier publiquement" les personnes concernées. La situation risque donc de se corser. Affaire à suivre !