A l’occasion de treize concerts exceptionnels, les Spice Girls ont fait le bonheur de leurs fans... A l’exception des admirateurs de Victoria Beckham qui avait refusé de se joindre à ses anciennes copines. Et, c'est au travers d'une longue entrevue à l'édition allemande de Vogue que Victoria Beckham a mis les choses au clair sur son refus de rejoindre ses quatre autres comparses

« Ça demande du courage »

Victoria Beckham est au sommet de son art et tout semble lui sourire… En effet, après avoir célébré ses 20 ans de mariage au château de Versailles avec David Beckham, la styliste de 45 ans s’offre la couverture du célèbre magazine Vogue pour sa version allemande du mois d’août. L’occasion pour elle de revenir sur sa brillante carrière mais aussi d’évoquer son refus de retrouver les Spice Girls.

Dire "non" demande du courage. Par exemple, ça m’a demandé beaucoup de courage. Non pas de repartir en tournée avec les Spice Girl, mais d’être celle qui dit : "Tu sais, je ne vais pas le faire parce que les choses sont différentes à présent". J’ai davantage envie de me concentrer sur ma famille et ma marque.

Ose celle qu'on appelait autrefois Posh Spice.

Ainsi, contrairement à Melanie Brown, Emma Bunton, Geri Halliwell et Melanie Chisholm, Victoria Beckham s’est forgée un empire en lançant sa marque de vêtements. Désormais l’ex-Spice Girl sait ce qu’elle veut et s’affiche plus confiante que jamais. Aussi, au cours de cette interview, elle a expliqué :

J’ai 45 ans et je suis très heureuse de la femme que je suis. Je ne cherche pas à changer.

A présent, Victoria Beckham apparaît comme une femme plus qu'accomplie. Maman de quatre enfants, Brooklyn (20 ans), Romeo (16 ans), Cruz (14 ans) et Harper (7 ans) et épouse de l’ancien footballeur David Beckham, elle s'épanouit complètement dans son métier. Depuis plus de 10 ans, elle est à la tête de sa marque éponyme, rentrée aujourd'hui parmi les classiques de la Fashion Week new-yorkaise :

Avant mes 40 ans, je n'avais pas confiance en moi. Depuis, j'ai appris à m'écouter.

Voilà qui est dit !